Des hommes en uniforme, des civils et des femmes, ont été présentés le 18 février par la police de Kinshasa. Plusieurs de ces criminels sont des récidivistes et ont bénéficié d’une certaine impunité.
Ces éléments pourtant considérés comme dangereux ont à leur actif des crimes de plusieurs sortes, a expliqué un des officiers supérieurs du Groupe de lutte contre la criminalité et les stupéfiants : « Ces bandits de grand chemin, repris de justice et membres de la bande présentée en date du 31 janvier 2020 au terme d’extorsion de plusieurs voitures taxis, communément appelées "Ketch" ».
Des militaires et des policiers pour la plupart
Pour le général Sylvano Kasongo, il est regrettable que des policiers et des militaires soient eux-mêmes les acteurs de l’insécurité. « La plupart des bandits à 90% sont des militaires et des policiers, a-t-il précisé. Cela nous gêne, mais on doit les présenter ».
La lutte contre l’insécurité concerne tout le monde, explique le chef de la police de Kinshasa qui invite les autorités et la population à une collaboration. « Nous disons à la population de coopérer, de collaborer avec les policiers, de nous donner des informations et nous appeler à tout moment, a-t-il encore martelé. Nous sommes à leur disposition ».
Désormais, de jour comme de nuit, la police mène dans la capitale des opérations qui, selon le général Sylvano Kasongo, auraient permis de faire baisser sensiblement le taux de criminalité.
Ces éléments pourtant considérés comme dangereux ont à leur actif des crimes de plusieurs sortes, a expliqué un des officiers supérieurs du Groupe de lutte contre la criminalité et les stupéfiants : « Ces bandits de grand chemin, repris de justice et membres de la bande présentée en date du 31 janvier 2020 au terme d’extorsion de plusieurs voitures taxis, communément appelées "Ketch" ».
Des militaires et des policiers pour la plupart
Pour le général Sylvano Kasongo, il est regrettable que des policiers et des militaires soient eux-mêmes les acteurs de l’insécurité. « La plupart des bandits à 90% sont des militaires et des policiers, a-t-il précisé. Cela nous gêne, mais on doit les présenter ».
La lutte contre l’insécurité concerne tout le monde, explique le chef de la police de Kinshasa qui invite les autorités et la population à une collaboration. « Nous disons à la population de coopérer, de collaborer avec les policiers, de nous donner des informations et nous appeler à tout moment, a-t-il encore martelé. Nous sommes à leur disposition ».
Désormais, de jour comme de nuit, la police mène dans la capitale des opérations qui, selon le général Sylvano Kasongo, auraient permis de faire baisser sensiblement le taux de criminalité.
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