"Nous condamnons ces violences à caractère tribalo-ethnique de manière très ferme. Et il faudra que les auteurs répondent un jour de leurs actes. Les Congolaises et Congolais doivent vivre partout où ils se trouvent, en harmonie avec les autres. Et les élections ne doivent pas être une occasion pour que les Congolais puissent se diviser en fragilisant l’unité nationale et la concorde. Il est important que tous les acteurs politiques, de toutes tendances confondues, lancent des appels à la non-violence, parce qu’il a été enregistré beaucoup de violations de droits humains, notamment des violations d’atteintes au droit à la vie, la violation du droit à la propriété. Il y a des personnes qui ont vu leurs biens vandalisés par les partisans de certains partis politiques qui n’ont pas apprécié les résultats qui avaient été publiés".
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