Floribert Chebeya lors de l'une de ses interventions sur Radio Okapi.
Le major Paul Mwilambwe accuse non seulement le général Numbi, mais également le chef de l’Etat Joseph Kabila, d’avoir ordonné l'assassinat de Floribert Chebeya.
Le pouvoir de Kinshasa apporte un démenti formel et affirme que la personne - qui apparaissait visage masqué à l’image - n’est pas le vrai Paul Mwilambwe.
Les autorités congolaises disent que celui qui a témoigné depuis son refuge à l’étranger n’est pas le vrai Paul Mwilambwe. Cette voix ne serait pas la sienne, ni son élocution ; le vrai Paul Mwilambwe serait reconnaissable à un bégaiement.
À l’appui de ce démenti, le ministère de l’Information fournit un enregistrement vidéo de trois personnes se présentant comme membres de sa famille à Lubumbashi : un grand-père, un oncle et un cousin : « La voix, l’allocution et encore moins le français, ont suscité beaucoup d’interrogations et des doutes sur l’authentification de notre fils, porté disparu il y a plus de deux ans ».
Une famille qui demande à revoir Paul Mwilambwe : « La famille demande à ceux qui détiennent des informations sur sa position, de l’aider à le récupérer enfin, que notre fils vienne répondre devant la justice de faits qui lui sont reprochés ».
En ce qui concerne le passeport montré à l’écran par l’interviewé, selon les autorités, ce document était entre les mains de la direction de la police et aurait été subtilisé. Ce qui attesterait la thèse d’un complot visant à atteindre le chef de l’Etat.
Source: RFI
Le pouvoir de Kinshasa apporte un démenti formel et affirme que la personne - qui apparaissait visage masqué à l’image - n’est pas le vrai Paul Mwilambwe.
Les autorités congolaises disent que celui qui a témoigné depuis son refuge à l’étranger n’est pas le vrai Paul Mwilambwe. Cette voix ne serait pas la sienne, ni son élocution ; le vrai Paul Mwilambwe serait reconnaissable à un bégaiement.
À l’appui de ce démenti, le ministère de l’Information fournit un enregistrement vidéo de trois personnes se présentant comme membres de sa famille à Lubumbashi : un grand-père, un oncle et un cousin : « La voix, l’allocution et encore moins le français, ont suscité beaucoup d’interrogations et des doutes sur l’authentification de notre fils, porté disparu il y a plus de deux ans ».
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Source: RFI
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