
L'annonce a été faite jeudi par les Nations Unies.
Cette énième reprise, intervient au lendemain de l'annonce par le gouvernement libyen d'union (GNA) de son retrait de la table des discussions après le bombardement du port de Tripoli.
Début février, les représentants du GNA, basés à Tripoli et reconnu par les Nations unies, et du maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort de l'Est libyen, avaient admis la nécessité de transformer la trêve en un cessez-le-feu permanent sans toutefois parvenir à un accord.
Les discussions sont toutefois indirectes entre belligérants libyens et se tiennent à Genève, sous les auspices des Nations unies.
L'émissaire spécial de l'ONU pour la Libye, Ghassam Salamé, faisant la navette entre les deux délégations.
Ghassam Salamé a assuré au début du deuxième cycle de discussions mardi qu'il faudrait plusieurs semaines de pourparlers pour "arriver à une solution".
Cette énième reprise, intervient au lendemain de l'annonce par le gouvernement libyen d'union (GNA) de son retrait de la table des discussions après le bombardement du port de Tripoli.
Début février, les représentants du GNA, basés à Tripoli et reconnu par les Nations unies, et du maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort de l'Est libyen, avaient admis la nécessité de transformer la trêve en un cessez-le-feu permanent sans toutefois parvenir à un accord.
Les discussions sont toutefois indirectes entre belligérants libyens et se tiennent à Genève, sous les auspices des Nations unies.
L'émissaire spécial de l'ONU pour la Libye, Ghassam Salamé, faisant la navette entre les deux délégations.
Ghassam Salamé a assuré au début du deuxième cycle de discussions mardi qu'il faudrait plusieurs semaines de pourparlers pour "arriver à une solution".
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