L’avocat de l’Etat, Me Moussa Felix Sow n'est pas en phase avec la décision du tribunal de grande instance de Paris sur l'affaire Karim et Etat du Sénégal. La robe noire se dit très surpris par la décision du tribunal de grande instance de Paris, d’autant plus que la France est signataire de la Convention de Mérida sur l’enrichissement illicite.
En effet, le tribunal de grande instance de Paris a rejeté, hier lundi, toutes les demandes de l’État du Sénégal visant à saisir, en France, des biens appartenant à l’ancien ministre d’Etat, ministre des Transports aérien et de la coopération internationale, Karim Wade et l’homme d’affaire Libano-sénégalais, Ibrahima Aboukhalil dit Bibo Bourgi. Une décision de rejet qui a surpris plus d’un du côté de l’Etat du Sénégal.
C’est le cas de Me Moussa Felix Sow, un des avocats de l’Etat, qui ne s’attendait pas du tout à un tel verdict. D’ailleurs il se dit « Surpris d’autant la France a signé la convention de Mérida, relative à l’enrichissement illicite ».
Rappelons que la Convention des Nations Unies contre la corruption (ou Convention de Mérida) fournit un cadre légal général pour lutter contre la corruption à travers des mesures de prévention, d’application du droit et de recouvrement de biens.
En effet, le tribunal de grande instance de Paris a rejeté, hier lundi, toutes les demandes de l’État du Sénégal visant à saisir, en France, des biens appartenant à l’ancien ministre d’Etat, ministre des Transports aérien et de la coopération internationale, Karim Wade et l’homme d’affaire Libano-sénégalais, Ibrahima Aboukhalil dit Bibo Bourgi. Une décision de rejet qui a surpris plus d’un du côté de l’Etat du Sénégal.
C’est le cas de Me Moussa Felix Sow, un des avocats de l’Etat, qui ne s’attendait pas du tout à un tel verdict. D’ailleurs il se dit « Surpris d’autant la France a signé la convention de Mérida, relative à l’enrichissement illicite ».
Rappelons que la Convention des Nations Unies contre la corruption (ou Convention de Mérida) fournit un cadre légal général pour lutter contre la corruption à travers des mesures de prévention, d’application du droit et de recouvrement de biens.
Autres articles
-
CFEE : les Inspecteurs de l’éducation et de la formation invités à développer des stratégies pour booster les résultats en 2024
-
Anta Babacar invite les femmes à se lancer dans la politique et ne pas se contenter des nominations
-
Chocs extérieurs, contexte difficile : le FMI salue la résilience de l’économie sénégalaise en 2023
-
Sénégal : le FMI prévoit une baisse de la croissance économique pour 2024
-
Faible représentativité des femmes : les féministes plaident "l'inclusion des femmes et des filles" dans les instances de gouvernance