
Ces enseignants réclament depuis le 05 janvier 2009 la formation et le reclassement des milliers de professeurs vacataires et contractuels en exercice dans les lycées et collèges, le paiement de leur salaire en même temps que celui des autres agents de l’Etat, le paiement des indemnités de Bac et du BFEM 2008.
Ainsi ils ont indiqué : «nous ne réclamons aucun avantage nouveau. Nous nous battons simplement pour une Ecole publique de qualité».
Selon ces enseignants, pour être performant, un système éducatif a besoin, par-dessus tout, d’enseignants motivés et bien formés, c’est-à-dire de maîtres ayant non seulement le niveau académique et la formation pédagogique requis, mais aussi et surtout assez bien payés pour jouir de la quiétude d’esprit nécessaire à la recherche que demande l’élaboration des cours qu’ils dispensent. L’effet maître est effectivement l’intrant prépondérant d’un enseignement de qualité.
Ce communiqué a rapporté que: «nos gouvernants trouvent que l’Education nationale, bien que financée par le contribuable sénégalais, coûte cher et ne pouvait constituer une priorité sur leurs dépenses somptuaires, leurs voyages interminables, leurs caisses noires destinées à arroser les fidèles et clients politiciens».
Par ailleurs, le Directoire du CUSEMS a évalué, le Samedi 14 mars dernier, son 9eme plan d’actions et a salué la forte mobilisation des professeurs dans les lycées et collèges du Sénégal.
Ainsi le CUSEMS a exigé «la mise en œuvre diligente de tous les accords signés entre le CUSEMS et le gouvernement, l’arrêt des menaces et des sanctions attentatoires aux libertés syndicales, la réunification du Ministère de l’Education Nationale, la convocation dans les délais les plus brefs des Assises de l’Education et de la Formation».
Ainsi ils ont indiqué : «nous ne réclamons aucun avantage nouveau. Nous nous battons simplement pour une Ecole publique de qualité».
Selon ces enseignants, pour être performant, un système éducatif a besoin, par-dessus tout, d’enseignants motivés et bien formés, c’est-à-dire de maîtres ayant non seulement le niveau académique et la formation pédagogique requis, mais aussi et surtout assez bien payés pour jouir de la quiétude d’esprit nécessaire à la recherche que demande l’élaboration des cours qu’ils dispensent. L’effet maître est effectivement l’intrant prépondérant d’un enseignement de qualité.
Ce communiqué a rapporté que: «nos gouvernants trouvent que l’Education nationale, bien que financée par le contribuable sénégalais, coûte cher et ne pouvait constituer une priorité sur leurs dépenses somptuaires, leurs voyages interminables, leurs caisses noires destinées à arroser les fidèles et clients politiciens».
Par ailleurs, le Directoire du CUSEMS a évalué, le Samedi 14 mars dernier, son 9eme plan d’actions et a salué la forte mobilisation des professeurs dans les lycées et collèges du Sénégal.
Ainsi le CUSEMS a exigé «la mise en œuvre diligente de tous les accords signés entre le CUSEMS et le gouvernement, l’arrêt des menaces et des sanctions attentatoires aux libertés syndicales, la réunification du Ministère de l’Education Nationale, la convocation dans les délais les plus brefs des Assises de l’Education et de la Formation».
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