
La coalition des organisations en synergie pour la défense de l'éducation (Cosydep) a publié les résultats de l'étude qu'elle a réalisée sur le phénomène de la violence en milieu scolaire qui couvre 5 lycées. Elle dresse un tableau sombre des violences scolaires.
Les agressions physiques et morales, les propos désobligeants sont les trois formes de violence dominantes en milieu scolaire.
L’étude a ciblé les proviseurs, les censeurs, les surveillants généraux, les enseignants et les élèves. Selon le rapport final parcouru par L’AS, les agressions physiques et morales représentent 12 %, les propos désobligeants, 10 %.
Ces trois formes de violence restent dominantes en milieu scolaire à côté de l’humiliation, les injures, les écarts de conduite, les brimades, la violence sexuelle, entre autres. Dans le rapport, 25 % des acteurs interrogés mettent en cause les relations entre enseignants et élèves comme facteur principal de cette violence en milieu scolaire.
Les 17 % attribuent cette violence à la nature des infrastructures, au mode de gestion des établissements, à l’état de l’environnement scolaire.
L’étude a cependant formulé plusieurs recommandations parmi lesquelles l’application de la législation scolaire, la sensibilisation, la mise en place de cadres fonctionnels de dialogue entre les acteurs de l’espace scolaire.
Les agressions physiques et morales, les propos désobligeants sont les trois formes de violence dominantes en milieu scolaire.
L’étude a ciblé les proviseurs, les censeurs, les surveillants généraux, les enseignants et les élèves. Selon le rapport final parcouru par L’AS, les agressions physiques et morales représentent 12 %, les propos désobligeants, 10 %.
Ces trois formes de violence restent dominantes en milieu scolaire à côté de l’humiliation, les injures, les écarts de conduite, les brimades, la violence sexuelle, entre autres. Dans le rapport, 25 % des acteurs interrogés mettent en cause les relations entre enseignants et élèves comme facteur principal de cette violence en milieu scolaire.
Les 17 % attribuent cette violence à la nature des infrastructures, au mode de gestion des établissements, à l’état de l’environnement scolaire.
L’étude a cependant formulé plusieurs recommandations parmi lesquelles l’application de la législation scolaire, la sensibilisation, la mise en place de cadres fonctionnels de dialogue entre les acteurs de l’espace scolaire.
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