Réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans : c’était l’une des promesses de campagne du président Macky Sall qui se concrétise avec le projet de réforme constitutionnelle dévoilé lundi 18 janvier. Elu en mars 2012 pour sept (7) ans, le chef de l’Etat sénégalais s’était engagé à réduire son mandat en cours de deux (2) ans. Désormais soumise au Conseil constitutionnel, cette disposition ne pourra plus «faire l’objet de révision» si elle est validée.
Lors d’une rencontre avec l’Association de la presse étrangère au Sénégal (APES), en mars 2015, le président Macky Sall disait vouloir « donner un exemple » avec cette réforme constitutionnelle : « Il faut qu’on comprenne, en Afrique aussi, qu’on est capable de donner la leçon, et que le pouvoir, ce n’est pas une fin en soi. »
Un référendum attendu en mai
Selon un spécialiste de la Constitution, cité par l’Agence France Presse, le Conseil constitutionnel dispose « en principe d’un mois » pour se prononcer sur la légalité des réformes qui lui sont soumises. Le texte de loi prévoit quinze mesures qui s’étendent des règles électorales à l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel.
Si cette réforme est validée par le Conseil constitutionnel, elle devrait être soumise en mai à un référendum populaire, afin de déterminer si la prochaine élection présidentielle se tiendra en 2017 ou en 2019.
Source Monde.fr
Lors d’une rencontre avec l’Association de la presse étrangère au Sénégal (APES), en mars 2015, le président Macky Sall disait vouloir « donner un exemple » avec cette réforme constitutionnelle : « Il faut qu’on comprenne, en Afrique aussi, qu’on est capable de donner la leçon, et que le pouvoir, ce n’est pas une fin en soi. »
Un référendum attendu en mai
Selon un spécialiste de la Constitution, cité par l’Agence France Presse, le Conseil constitutionnel dispose « en principe d’un mois » pour se prononcer sur la légalité des réformes qui lui sont soumises. Le texte de loi prévoit quinze mesures qui s’étendent des règles électorales à l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel.
Si cette réforme est validée par le Conseil constitutionnel, elle devrait être soumise en mai à un référendum populaire, afin de déterminer si la prochaine élection présidentielle se tiendra en 2017 ou en 2019.
Source Monde.fr
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