La Corée du Sud et le Japon ont-ils fait un grand pas vers la résolution d’un conflit historique qui envenime les relations entre les deux voisins depuis plus de 70 ans ?
Après des mois de dialogue et de spéculations, le gouvernement sud-coréen a finalement présenté ce lundi son plan de dédommagement des victimes de travail forcé durant l’occupation japonaise. « La Fondation japonaise de soutien aux victimes de travail forcé versera le dédommagement et les intérêts différés aux plaignants prévus dans les trois jugements déposés auprès de la Cour suprême en 2018, afin de soutenir et de soulager les survivants et les familles de victimes de travail forcé », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Park Jin.
L'amélioration des relations avec le Japon
La décision de verser les dédommagements grâce à des dons d’entreprises privés via une fondation publique sud-coréenne a été critiqué des organisations de défenses des 15 victimes. Celles-ci plaident pour des excuses publiques et une contribution directe des deux entreprises japonaises. Mais Séoul prévoit que ce système de dédommagement s’applique aussi prochaines décisions de justice. Une façon d’essayer d’enterrer définitivement un dossier qui réapparait fréquemment en Corée du Sud.
La priorité du gouvernement actuel, c’est l’amélioration des relations avec Tokyo. « J'espère que nous pourrons travailler ensemble pour surmonter notre histoire malheureuse et développer une relation tournée vers l'avenir, fondée sur la réconciliation, la bonne volonté et la coopération », a lancé Park Jin.
Un rapprochement entredeux des principaux alliés des États-Unis salué par Washington qui parle d’annonce « historique ». Pour la Corée du Sud, l’objectif est d’aussi d’obtenir un soutien supplémentaire dans un contexte de tensions grandissantes avec la Corée du Nord.
Après des mois de dialogue et de spéculations, le gouvernement sud-coréen a finalement présenté ce lundi son plan de dédommagement des victimes de travail forcé durant l’occupation japonaise. « La Fondation japonaise de soutien aux victimes de travail forcé versera le dédommagement et les intérêts différés aux plaignants prévus dans les trois jugements déposés auprès de la Cour suprême en 2018, afin de soutenir et de soulager les survivants et les familles de victimes de travail forcé », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Park Jin.
L'amélioration des relations avec le Japon
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