Suite aux messages d’orientations dans les universités publiques du Sénégal reçus par la majeure partie des nouveaux bacheliers, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) exprime sa profonde préoccupation face au sort des nouveaux bacheliers; dans un communiqué transmis à PressAfrik.
En effet, après plusieurs années de sacrifices et d’efforts consentis, les étudiants sont compléments déboussolés par cette nouvelle forme d’orientation. Comment peut-on, les orienter dans un premier temps et ensuite leur envoyer un autre message leur demandant de faire un autre choix, le tout dans un délai court ?
D’autres encore moins chanceux sont orientés dans d’autres régions, sans tenir compte de leur choix initial. Nos autorités doivent être plus regardantes sur l’orientation et les délais consentis pour éviter les éventuels découragements et désistements pour venir renforcer le lot de jeunes confrontés au chômage, au banditisme, à la drogue et aux risques accrues liées au phénomène de la migration irrégulière.
ADHA rappelle ainsi aux autorités compétentes en particulier et à toute la population sénégalaise en général, que le développement d’un pays passe par l’éducation, la santé et l’accès aux services sociaux de base. Le droit à l’éducation est légalement garanti pour tous.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié rappelle aux représentants des étudiants, au Conseil universitaire, ainsi qu’aux conseils des différentes facultés, qu’un nouveau bachelier est un étudiant, et par conséquent, ils sont tenus de défendre leurs intérêts, et qu’ils doivent jouer leur rôle de protection des étudiants afin de les accueillir dans d’excellentes conditions de performances.
De réelles mesures doivent être prises et appliquées sans tarder pour garantir une bonne rentrée académique, et pourquoi pas la tenue des assises de l’Enseignement au Sénégal, conclut la note.
En effet, après plusieurs années de sacrifices et d’efforts consentis, les étudiants sont compléments déboussolés par cette nouvelle forme d’orientation. Comment peut-on, les orienter dans un premier temps et ensuite leur envoyer un autre message leur demandant de faire un autre choix, le tout dans un délai court ?
D’autres encore moins chanceux sont orientés dans d’autres régions, sans tenir compte de leur choix initial. Nos autorités doivent être plus regardantes sur l’orientation et les délais consentis pour éviter les éventuels découragements et désistements pour venir renforcer le lot de jeunes confrontés au chômage, au banditisme, à la drogue et aux risques accrues liées au phénomène de la migration irrégulière.
ADHA rappelle ainsi aux autorités compétentes en particulier et à toute la population sénégalaise en général, que le développement d’un pays passe par l’éducation, la santé et l’accès aux services sociaux de base. Le droit à l’éducation est légalement garanti pour tous.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié rappelle aux représentants des étudiants, au Conseil universitaire, ainsi qu’aux conseils des différentes facultés, qu’un nouveau bachelier est un étudiant, et par conséquent, ils sont tenus de défendre leurs intérêts, et qu’ils doivent jouer leur rôle de protection des étudiants afin de les accueillir dans d’excellentes conditions de performances.
De réelles mesures doivent être prises et appliquées sans tarder pour garantir une bonne rentrée académique, et pourquoi pas la tenue des assises de l’Enseignement au Sénégal, conclut la note.
Autres articles
-
Cherté de la vie et lutte contre le chômage des jeunes : le secteur privé s’engage à soutenir le Président Diomaye Faye
-
Baisse du coût de la vie : le Président Diomaye en "aparté" avec le secteur privé ce mardi
-
Corruption dans la délivrance des actes de naissance : le président du tribunal de Mbacké met en garde les agents de l’état civil
-
Guédiawaye : Des chauffeurs de taxi clandos observent une grève illimitée
-
Université de Ziguinchor : le SAES contre une prolongation du mandat du recteur et exige le paiement sans délais des heures complémentaires