Le Soudan est un pays où le taux des mutilations génitales féminines (MGF) est très élevé. La principale cause de la pratique de l’excision au Soudan est le statut économique, social et de la pratique traditionnelle. Mais pour préserver cela, il prône de sensibiliser pour lutter contre les mutilations génitales, explique Abdoul Wahab, parlementaire soudanais.
Le député indique qu' « au Soudan, les Etats de Kassela et le With Nile sont les pays les plus pauvres. Ils sont égaux en termes de populations, d’éducation et de santé. Dans ces deux Etats, c’est le même système d’intervention, de caractéristique de populations, de méthodes similaires, mais les résultats sont différents ».
Il faut aussi noter qu’au Soudan le mariage précoce est un phénomène très fréquent. Et le taux de prévalence de l’excision est de 89% pour l’ensemble des pays, mais avec des variations zonales.
Cependant, selon M. Wahab « des lois ont été mises en place bien avant 1949, mais des problèmes de religion et de droits humains sont le blocage. En effet, la loi nationale sur l’enfant en 2013 a été mise en œuvre pour l’effectivité de l’abandon de l’excision des filles dans l’Etat de Kordofan (Soudan). Mais les MGF (Mutilations génitales féminines) et le mariage précoce sont criminalisés par la loi pénale de 1991».
D'après lui, il y a la loi Saleema (mot arabe) qui préserve la santé des bien-nés et promeut les valeurs sociales en ce qui concerne l’excision des filles. Pour sensibiliser et conscientiser les populations, la culture locale comme la poésie, la prose et d'autres formes de communication ont été les moyens pour véhiculer le message, afin d’arrêter l’excision des filles.
"Dans certains Etats comme à Altage (petit) 1.600. 000 personnes ont signés une pétition pour l’abandon de l’excision. Enfin, des conclusions et des recommandations ont été dégagées pour l’abandon définitif de l’excision et le mariage précoce des jeunes filles.", conclu le parlementaire
Le député indique qu' « au Soudan, les Etats de Kassela et le With Nile sont les pays les plus pauvres. Ils sont égaux en termes de populations, d’éducation et de santé. Dans ces deux Etats, c’est le même système d’intervention, de caractéristique de populations, de méthodes similaires, mais les résultats sont différents ».
Il faut aussi noter qu’au Soudan le mariage précoce est un phénomène très fréquent. Et le taux de prévalence de l’excision est de 89% pour l’ensemble des pays, mais avec des variations zonales.
Cependant, selon M. Wahab « des lois ont été mises en place bien avant 1949, mais des problèmes de religion et de droits humains sont le blocage. En effet, la loi nationale sur l’enfant en 2013 a été mise en œuvre pour l’effectivité de l’abandon de l’excision des filles dans l’Etat de Kordofan (Soudan). Mais les MGF (Mutilations génitales féminines) et le mariage précoce sont criminalisés par la loi pénale de 1991».
D'après lui, il y a la loi Saleema (mot arabe) qui préserve la santé des bien-nés et promeut les valeurs sociales en ce qui concerne l’excision des filles. Pour sensibiliser et conscientiser les populations, la culture locale comme la poésie, la prose et d'autres formes de communication ont été les moyens pour véhiculer le message, afin d’arrêter l’excision des filles.
"Dans certains Etats comme à Altage (petit) 1.600. 000 personnes ont signés une pétition pour l’abandon de l’excision. Enfin, des conclusions et des recommandations ont été dégagées pour l’abandon définitif de l’excision et le mariage précoce des jeunes filles.", conclu le parlementaire
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