La question vaut tout son pesant d'or. Est-ce possible au Sénégal de démarrer les cours dès le premier jour de l'ouverture des classes ? Ou le concept "Oubi tey, jang tey" a-t-il des chances de réussite ? A l'école élémentaire Amadou Ali Ndoye, Alié Codou Ndoye sises sur la Médina, les enseignants dressent le bilan peu après l'arrivée des élèves à 09 heures passées. Le principal écueil du concept reste, selon eux, le faible taux d’inscription pour le moment.
Un phénomène dû, listent-ils à la fête de l'Aïd El Kébir célébrée ce 5 octobre. Et qui a ruiné la majeur partie des parents. Ces derniers disent la même chose. Tabaski oblige, les inscriptions ne pourront se faire qu'à partir de la semaine prochaine. La preuve constate notre reporter, les cours des écoles ne sont pas aussi animées que d'habitude. Les quelques élèves inscrits sont dans les classes entrain de discuter de leur vacances entre camarades. Devant les portes, les instituteurs eux, attendent d'éventuels élèves.
"Oubi tey, jang tey" plombé à Dakar, des échos des régions ne sont pas du tout favorables. Loin de la fête du mouton, c'est la saison des pluies qui y passée. En effet, dans les zones les plus reculées du pays, les écoles ne sont pas encore en mesure de recevoir les potaches car après la saison des pluies, les herbes ont envahi les cours. Une opération de désherbage s'impose avant le démarrage des cours. En somme, le commencement des cours dès le premier jour d'école, n'est point possible.
* Commencer les cours dès le premier jour de l'ouverture
Un phénomène dû, listent-ils à la fête de l'Aïd El Kébir célébrée ce 5 octobre. Et qui a ruiné la majeur partie des parents. Ces derniers disent la même chose. Tabaski oblige, les inscriptions ne pourront se faire qu'à partir de la semaine prochaine. La preuve constate notre reporter, les cours des écoles ne sont pas aussi animées que d'habitude. Les quelques élèves inscrits sont dans les classes entrain de discuter de leur vacances entre camarades. Devant les portes, les instituteurs eux, attendent d'éventuels élèves.
"Oubi tey, jang tey" plombé à Dakar, des échos des régions ne sont pas du tout favorables. Loin de la fête du mouton, c'est la saison des pluies qui y passée. En effet, dans les zones les plus reculées du pays, les écoles ne sont pas encore en mesure de recevoir les potaches car après la saison des pluies, les herbes ont envahi les cours. Une opération de désherbage s'impose avant le démarrage des cours. En somme, le commencement des cours dès le premier jour d'école, n'est point possible.
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