Les opposants du Togo exigent le retour à la Constitution de 1992 et la démission du président Faure Gnassingbé.
Selon les chiffres fournis par le ministre togolais de la sécurité, la marche a rassemblé 13 500 personnes à Lomé la capitale.
Lors des précédentes manifestations de l'opposition des décès et des blessés graves. Il y a eu aussi de dégâts matériels enregistrés.
Le ministre de la sécurité s'est plutôt félicité du climat pacifique qui a caractérisé les manifestations.
Selon l'opposition, ces manifestations ont démontré que les violences des précédentes marches sont plutôt imputables au pouvoir.
Autres articles
-
Pas d'accord en vue entre le Bénin et le Niger sur la réouverture de leur frontière
-
«On n'a rien pu sauver»: au Kénya, le désarroi des agriculteurs qui ont tout perdu dans les inondations
-
Afrique du Sud: surprise du scrutin, le parti MK de l'ex-président Zuma conteste les résultats
-
Soudan du Sud: l'État du Jonglei en proie à des tensions après l'éviction de son gouverneur
-
Une communication russe jette le trouble sur la libération de 21 militaires tchadiens