Interpellé, vendredi 19 septembre, à son domicile, à Lomé, à 7h30 (heure locale), Narcisse Essiwé Tchalla - à l'état civil – a été présenté, en début de soirée, au doyen des juges.
C’est ce magistrat qui a donc formellement inculpé l'artiste pour « incitation de la population à la révolte, diffusion de fausses nouvelles de nature à troubler l'ordre public et d'outrage envers les plus hautes autorités de l'État », indique l'un de ses avocats. Des chefs d'inculpation proches de ceux notifiés à Marguerite Gnakadè mais l'ancienne ministre des Armées qui a notamment appelé à la démission du président Faure Gnassingbé, est aussi poursuivie pour atteinte à la sureté de l'État, motif qui a visiblement entrainé son incarcération provisoire.
Placé sous contrôle judiciaire, Aamron est ressorti libre de son audition avec le juge, à 21h30 (heure locale). Son passeport confisqué, il lui est interdit de quitter le territoire togolais. Interdiction également de s'exprimer sur ce dossier car « le secret de l'instruction impose le silence », précise l'un de ses avocats avant d’ajouter que « la procédure ne fait que débuter. Nous attendons d'avoir des éléments concrets. Notre client va bien évidemment répondre aux futures convocations du juge. »
C’est ce magistrat qui a donc formellement inculpé l'artiste pour « incitation de la population à la révolte, diffusion de fausses nouvelles de nature à troubler l'ordre public et d'outrage envers les plus hautes autorités de l'État », indique l'un de ses avocats. Des chefs d'inculpation proches de ceux notifiés à Marguerite Gnakadè mais l'ancienne ministre des Armées qui a notamment appelé à la démission du président Faure Gnassingbé, est aussi poursuivie pour atteinte à la sureté de l'État, motif qui a visiblement entrainé son incarcération provisoire.
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