En l’absence du ministre de la Justice Ismaila Madior Fall et de l'ambassadeur de l’Union européenne Joaquin Gonzaled –Ducay, le Colonel Alioune Gueye a présidé ce jeudi, la cérémonie d’ouverture de l'atelier de formation en droits humains de l'Observateur national des lieux de prévention de liberté (ONLPL), à la place du ministre des Forces armées. Cette formation rentre dans le cadre de la mission de prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants des détenus.
A cette occasion, le Colonel Gueye a adressé un message aux officiers de police judiciaire, dont une bonne partie a le droit d’interpellation et d’arrestation, dans le cadre de l’exercice de leur pouvoir. Il faut de « respecter un certain nombre de normes établies par la loi. Même si force restera à la loi, les forces de sécurité, des éléments de la Gendarmerie nationale, sont également régies dans le règlement de discipline générale », a-t-il rappelé.
Le Colonel Alioune Gueye a également souligné que "cette observatoire a sa place dans ce pays, comme indiquent les termes de référence investis d’un mandat qui s’articule autour de la prévention de la torture et des autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants dans les lieux de privation de liberté".
« Il faudra donc être méticuleux, vigilant sur l’application de la loi, notamment en matière de respect des droits des personnes interpellées ou gardées à vue, a indiqué le Colonel. Et de dire: « nous nous efforçons de mettre nos chambres de sûreté aux normes. Vous devez vous rappeler en tant que officiers de police, commandants de brigade, chefs de poste de gendarmerie, de faire respecter ces droits pour éviter des problèmes ».
« Si vous êtes fautifs, si vous n’appliquez pas ce qui vous a été enseigné malheureusement vous serez seul à y faire face », a-t-il prévenu.
A cette occasion, le Colonel Gueye a adressé un message aux officiers de police judiciaire, dont une bonne partie a le droit d’interpellation et d’arrestation, dans le cadre de l’exercice de leur pouvoir. Il faut de « respecter un certain nombre de normes établies par la loi. Même si force restera à la loi, les forces de sécurité, des éléments de la Gendarmerie nationale, sont également régies dans le règlement de discipline générale », a-t-il rappelé.
Le Colonel Alioune Gueye a également souligné que "cette observatoire a sa place dans ce pays, comme indiquent les termes de référence investis d’un mandat qui s’articule autour de la prévention de la torture et des autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants dans les lieux de privation de liberté".
« Il faudra donc être méticuleux, vigilant sur l’application de la loi, notamment en matière de respect des droits des personnes interpellées ou gardées à vue, a indiqué le Colonel. Et de dire: « nous nous efforçons de mettre nos chambres de sûreté aux normes. Vous devez vous rappeler en tant que officiers de police, commandants de brigade, chefs de poste de gendarmerie, de faire respecter ces droits pour éviter des problèmes ».
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