Précisions de la Direction du Centre des Œuvres Universitaires de Dakar (COUD). « Suite à certaines informations véhiculées ces derniers jours, faisant état de l’ouverture seulement de deux restaurants du COUD pour les étudiants, relativement à l’incident malheureux ayant occasionné le décès regrettable de l’étudiant Massaer Boye, la direction du COUD tient à préciser que de telles allégations sont contraires à la réalité ».
Selon le communiqué parvenu à Pressafrik.com, en effet, « tous les blocs de restauration universitaire (Central, Argentin, Aline Sittoe JATTA ex claudel, ESP, ENSETP, FASTEF, ESEA ex ENEA) sont exploités à fond. Mieux, particulièrement pendant le mois de ramadan, les horaires d’ouverture des restaurants ont été avancées pour le petit déjeuner de 6 heures à 4 heures 30 minutes du matin et pour le dîner de 19 heures à 18 heures, soit plus d’une heure de temps avant la rupture du jeûne ».
Des mesures qui n’ont toutefois pas pu « faire disparaître les queues aux portes des restaurants qui sont inhérentes à la forte population d’étudiants. Aussi, le respect ou non des rangs relève d’une question de discipline et de comportement individuel », indique le COUD qui par ailleurs ne manque pas de poursuivre en constatant : « Au courant de cette semaine des affrontements nocturnes opposant les étudiants et les forces de l’ordre à l’intérieur même du campus social ». Dès lors, la direction du COUD, consciente des dangers et risques que peuvent engendrer les « fronts nocturnes » tient à les déconseiller fortement et en appelle à leur bon sens.
Enfin, le COUD lance un appel à la direction des bourses et à son partenaire Ecobank pour faciliter le paiement des allocations des étudiants qui est la source principale de ces manifestations nocturnes. Ce, 48 heures après que l’étudiant Saër Boye a été battu à mort devant le restaurant central du COUD.
Selon le communiqué parvenu à Pressafrik.com, en effet, « tous les blocs de restauration universitaire (Central, Argentin, Aline Sittoe JATTA ex claudel, ESP, ENSETP, FASTEF, ESEA ex ENEA) sont exploités à fond. Mieux, particulièrement pendant le mois de ramadan, les horaires d’ouverture des restaurants ont été avancées pour le petit déjeuner de 6 heures à 4 heures 30 minutes du matin et pour le dîner de 19 heures à 18 heures, soit plus d’une heure de temps avant la rupture du jeûne ».
Des mesures qui n’ont toutefois pas pu « faire disparaître les queues aux portes des restaurants qui sont inhérentes à la forte population d’étudiants. Aussi, le respect ou non des rangs relève d’une question de discipline et de comportement individuel », indique le COUD qui par ailleurs ne manque pas de poursuivre en constatant : « Au courant de cette semaine des affrontements nocturnes opposant les étudiants et les forces de l’ordre à l’intérieur même du campus social ». Dès lors, la direction du COUD, consciente des dangers et risques que peuvent engendrer les « fronts nocturnes » tient à les déconseiller fortement et en appelle à leur bon sens.
Enfin, le COUD lance un appel à la direction des bourses et à son partenaire Ecobank pour faciliter le paiement des allocations des étudiants qui est la source principale de ces manifestations nocturnes. Ce, 48 heures après que l’étudiant Saër Boye a été battu à mort devant le restaurant central du COUD.
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