Sur Douyin - l'équivalent de Tiktok en Chine -, des vidéos affichent les rémunérations importantes promises aux mercenaires qui se battent en Russie : plus de 5, 2 millions de roubles, soit environ 52 000 euros.
Sur d'autres, des Chinois engagés racontent leur quotidien, comme celui-ci qui répond aux questions des internautes, en octobre dernier. « En ce moment, les combats sont tellement intenses que l'on peut dire qu'on sert de chair à canon. On nous dit que si on vient en Russie, on peut gagner gros. Chaque mois, on nous donne 2 500 euros. La question, c'est : "Est-ce qu'on peut revenir en vie ou pas ?" Si c'est le cas, alors oui : on peut gagner très gros. »
« Je passe mon temps à couper du bois »
D'autres se plaignent de problèmes de langue ou des difficultés rencontrées durant l'hiver. « Je suis fatigué à crever. Je ne tire pas de coup de feu, je passe mon temps à couper du bois », raconte l'un tandis qu'un autre semble regretter d'être venu jusque là : « Si je vous le dis, vous n'allez pas me croire. On n'y croit pas avant de rencontrer la mort, mais on n'est pas plus fort que le destin. Mieux vaut rester en Chine et rester en vie. Mon caleçon est trempé de peur. Regardez comme je suis glacé, vraiment congelé. »
S'il est impossible de confirmer les propos tenus dans ces vidéos, certains Chinois qui combattent en Ukraine publient en revanche fréquemment des photos et des vidéos vêtus de leur uniforme russe.
Sur d'autres, des Chinois engagés racontent leur quotidien, comme celui-ci qui répond aux questions des internautes, en octobre dernier. « En ce moment, les combats sont tellement intenses que l'on peut dire qu'on sert de chair à canon. On nous dit que si on vient en Russie, on peut gagner gros. Chaque mois, on nous donne 2 500 euros. La question, c'est : "Est-ce qu'on peut revenir en vie ou pas ?" Si c'est le cas, alors oui : on peut gagner très gros. »
« Je passe mon temps à couper du bois »
D'autres se plaignent de problèmes de langue ou des difficultés rencontrées durant l'hiver. « Je suis fatigué à crever. Je ne tire pas de coup de feu, je passe mon temps à couper du bois », raconte l'un tandis qu'un autre semble regretter d'être venu jusque là : « Si je vous le dis, vous n'allez pas me croire. On n'y croit pas avant de rencontrer la mort, mais on n'est pas plus fort que le destin. Mieux vaut rester en Chine et rester en vie. Mon caleçon est trempé de peur. Regardez comme je suis glacé, vraiment congelé. »
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