Le riz cultivé en Casamance est un ’’riz de bonne qualité’’ qui pourrait être commercialisé sous le label ’’Casariz’’, a confié à l’APS le technicien en agriculture Yves Amoussougbo, expert pour le Projet d’appui au développement rural de la Casamance (PADERCA).
Le riz figure parmi les ’’filières porteuses’’ retenues par le PADERCA et présentées aux techniciens et producteurs, lors d’une concertation mardi à Ziguinchor.
En Casamance, ‘’on peut produire un riz de bonne qualité’’ et grâce au ‘’renforcement de capacité des organisations’’ de producteurs et la ‘’mise en place d’un système de commercialisation’’ de la production, le ‘’Casariz’’ peut être disponible d’ici deux dans les rayons, a indiqué Yves Amoussougbo.
Pour atteindre cet objectif, il appelle les producteurs à augmenter les surfaces de production rizicole et à faire du ‘’lobbying auprès de l’Etat’’.
Il faut aussi lever certains ‘’freins’’ au développement de l’agriculture dans la zone liés à l’augmentation de la salinité, à l’acidité des vallées et à l’absence de mécanismes de financement adaptés, conseille le technicien.
Parmi les contraintes identifiées, il a cité également l’étroitesse des parcelles cultivées, l’absence d’un encadrement spécifique au riz, les difficultés à respecter les calendriers culturaux, la forte pression des mauvaises herbes et de la mangrove.
source : APS
Le riz figure parmi les ’’filières porteuses’’ retenues par le PADERCA et présentées aux techniciens et producteurs, lors d’une concertation mardi à Ziguinchor.
En Casamance, ‘’on peut produire un riz de bonne qualité’’ et grâce au ‘’renforcement de capacité des organisations’’ de producteurs et la ‘’mise en place d’un système de commercialisation’’ de la production, le ‘’Casariz’’ peut être disponible d’ici deux dans les rayons, a indiqué Yves Amoussougbo.
Pour atteindre cet objectif, il appelle les producteurs à augmenter les surfaces de production rizicole et à faire du ‘’lobbying auprès de l’Etat’’.
Il faut aussi lever certains ‘’freins’’ au développement de l’agriculture dans la zone liés à l’augmentation de la salinité, à l’acidité des vallées et à l’absence de mécanismes de financement adaptés, conseille le technicien.
Parmi les contraintes identifiées, il a cité également l’étroitesse des parcelles cultivées, l’absence d’un encadrement spécifique au riz, les difficultés à respecter les calendriers culturaux, la forte pression des mauvaises herbes et de la mangrove.
source : APS
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