![Une dette de 500 millions à l'APDA: le nouveau DG Ibra Guèye indexe son prédécesseur Une dette de 500 millions à l'APDA: le nouveau DG Ibra Guèye indexe son prédécesseur](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/5278059-7876563.jpg?v=1362135327)
I
Le nouveau Directeur Général de l’Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat (APDA), Ibra GUEYE accuse son prédécesseur Pape Oumar Samb d’avoir échoué dans sa gestion au cours de son exercice de fonction à la tête de ladite structure. Hier jeudi, au cours d’une conférence de presse, Ibra Guèye a fustigé la gestion de son devancier Pape Oumar Samb, qui « aurait détourné l’équivalent de près de 2 ans de budget de cette structure ».
M. GUEYE, par ailleurs membre de l’Alliance Pour la République (APR), déclare dans les colonnes du journal « Le Quotidien » que cette agence qui pourrait être un levier important dans l’économie et une aubaine pour l’emploi des jeunes a été « pillée ». « Cette agence a été très mal gérée, pillée et elle ne s’occupait même plus des problèmes des artisans ; cause pour la quelle ceux-ci ne connaissent pas où elle se trouve », poursuit-il avant de rappeler que l’AGOA I et l’AGOA II ont été des « échecs » et c’est pourquoi il ya lieu de réformer le secteur pour l’émergence d’un artisanat fort.
Le nouveau DG de l’APDA n’a pas manqué d’encourager la traque des bien mal acquis qui selon lui, est une « demande sociale ».
M. GUEYE, par ailleurs membre de l’Alliance Pour la République (APR), déclare dans les colonnes du journal « Le Quotidien » que cette agence qui pourrait être un levier important dans l’économie et une aubaine pour l’emploi des jeunes a été « pillée ». « Cette agence a été très mal gérée, pillée et elle ne s’occupait même plus des problèmes des artisans ; cause pour la quelle ceux-ci ne connaissent pas où elle se trouve », poursuit-il avant de rappeler que l’AGOA I et l’AGOA II ont été des « échecs » et c’est pourquoi il ya lieu de réformer le secteur pour l’émergence d’un artisanat fort.
Le nouveau DG de l’APDA n’a pas manqué d’encourager la traque des bien mal acquis qui selon lui, est une « demande sociale ».
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