
Au Sénégal, le nombre de personnes déclarées guéries du coronavirus, par les autorités sanitaires, s’élève désormais à 171, à la date de ce dimanche 12 avril. Par contre, 106 patients sont sous traitement, selon les chiffres du ministère de la Santé, dans un communiqué. Interrogé sur ce taux de guérison, le directeur du Centre des opérations d'urgence sanitaire ( COUS), Docteur Abdoulaye Bousso, a donné des explications.
« Le traitement (avec la chloroquine) a été introduit. Le Pr Seydi et son équipe ont beaucoup développé sur la question. Aujourd’hui sur l’ensemble de nos sites de traitement, c’est un produit qui est utilisé (la chloroquine). Comme on le dit, c’est une étude qui est en cours et on ne peut pas beaucoup s’avancer », a-t-il expliqué sur la RFM.
« Quand on voit le nombre de guéris, on peut se poser la question, mais on va être quand même très prudent par rapport à cela. La chloroquine fait partie d’un arsenal thérapeutique, donc ce n’est pas que la chloroquine qu’on donne à nos patients. Il y a d’autres médicaments administrés à ces patients. Pour le moment, le protocole thérapeutique semble donner de bons résultats », a-t-il ajouté.
Dr Bousso a fait savoir qu’ils n’ont pas eu beaucoup de cas sévères au Sénégal. « Il y a une prise en charge qui s’est faite de manière précoce. Elle se fait dans le milieu hospitalier. Tous ces éléments peuvent expliquer ce taux de guérison important », selon lui.
« Nous connaissons la chloroquine. Nous l’avons pris contre le paludisme. C’est un médicament qui est connu. C'aurait été différent si c’était un nouveau médicament. Si aujourd’hui on arrive à cerner l’ensemble des questions liées aux indications, notamment les effets secondaires, en terme de bénéfices et risques, je pense que le bénéfice est plus important », a-t-il conclu, avant d’assurer qu’il y a un stock disponible au niveau de la Pharmacie nationale d’approvisionnement.
« Le traitement (avec la chloroquine) a été introduit. Le Pr Seydi et son équipe ont beaucoup développé sur la question. Aujourd’hui sur l’ensemble de nos sites de traitement, c’est un produit qui est utilisé (la chloroquine). Comme on le dit, c’est une étude qui est en cours et on ne peut pas beaucoup s’avancer », a-t-il expliqué sur la RFM.
« Quand on voit le nombre de guéris, on peut se poser la question, mais on va être quand même très prudent par rapport à cela. La chloroquine fait partie d’un arsenal thérapeutique, donc ce n’est pas que la chloroquine qu’on donne à nos patients. Il y a d’autres médicaments administrés à ces patients. Pour le moment, le protocole thérapeutique semble donner de bons résultats », a-t-il ajouté.
Dr Bousso a fait savoir qu’ils n’ont pas eu beaucoup de cas sévères au Sénégal. « Il y a une prise en charge qui s’est faite de manière précoce. Elle se fait dans le milieu hospitalier. Tous ces éléments peuvent expliquer ce taux de guérison important », selon lui.
« Nous connaissons la chloroquine. Nous l’avons pris contre le paludisme. C’est un médicament qui est connu. C'aurait été différent si c’était un nouveau médicament. Si aujourd’hui on arrive à cerner l’ensemble des questions liées aux indications, notamment les effets secondaires, en terme de bénéfices et risques, je pense que le bénéfice est plus important », a-t-il conclu, avant d’assurer qu’il y a un stock disponible au niveau de la Pharmacie nationale d’approvisionnement.
Autres articles
-
Garde à vue prolongée de 24h pour Clédor Séne, Guy Marius et Assane Diouf (avocat)
-
Thiès : la campagne de vaccination contre la covid-19 reportée à la semaine prochaine
-
Remise de clefs au 1er Crédit-Preneur du Guichet Crédit-Bail de La Banque Agricole
-
Vision 2050 de la CEDEAO: de nouvelles perspectives prises pour intégrer les besoins des populations
-
Guy Marius Sagna, Assane Diouf et Clédor Sène, déférés au parquet ce jeudi