Parole de politicien varie, bien fol est qui s'y fie, pour ne pas paraphraser Victor Hugo. En 2012, alors que l'arrêté Ousmane Ngom, du nom du ministre de l'Intérieur d'alors, venait d'interdire aux Sénégalais d'organiser toute manifestation aux abords de la Place de l'Indépendance, l'actuel président de la République (à l'époque candidat à la Présidentielle) a pris sa plume et écrit au Haut Commissaire des Nations Unies pour dénoncer ce qu'il appelait "une violation du Droit inaliénable de tout peuple à s'exprimer librement et à manifester pacifiquement".
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
Autres articles
-
Classement Henley Passeport 2021: le Sénégal 87e avec seulement 56 pays sans visa préalable
-
«Diffusion de fausses nouvelles» sous la loupe de trois avocats: faudrait-il supprimer cette loi liberticide
-
Pape Demba Bitèye contredit les syndicats et présente une « Senelec qui se porte à merveille »
-
Pape Demba Bitèye affirme: "je n'ai aucune ambition de diriger la municipalité de Kaolack"
-
Podor: le Coordonnateur du Forum civil arrêté, après un post sur Facebook