Ils sont au nombre de 22 : El Hadj Dia, 23 ans, études non précisées ; Mbaye Guèye, 26 ans, études non précisées ; Alassane Sine, 22 ans, études non précisées ; Soulaymane Sané, 27 ans, Master 1 Histoire ; Abdoulaye Diagne, 24 ans, nouveau Bachelier ; Serigne Abdoul Ahad Ndiaye, 25 ans, 2ème année Lettres modernes ; El Hadji Mansour Sylla, 23 ans, 1ère année Physique Chimie ; Mamadou Hann, 22 ans, élève ; Yankhoba Dabo, 26 ans, 3e année Géographie ; Cheikh Ahmed Tidiane Ndiaye, 25 ans 2ème année Anglais ; Aldiouma Sam, 21 ans, 2ème année Lettres ; Boris Diouf, 24 ans, 2ème année Lettres moderne ; Gabriel Diouf, 21 ans, 1ère année Philosophie ; Daouda Sagna, 25 ans, études non précisées ; Abdou Malick Kandji, âge et études non précisées ; Mouhamadou Mbacké Diop, 25 ans, études non précisées ; Mohamed Faye, 22 ans, études non précisées ; Ansou Kouaté, 28 ans, études non précisées ; Landa Yiradiang, 25 ans, études non précisées ; Djimba Thiam, 19 ans, 1ère année Histoire ; Saliou Niasse, 24 ans Lettres modernes et Habib Sarr, 21 ans, 1ère année Espagnol.
Arrêtés dans le cadre des violences universitaires ayant occasionné le saccage du Centre des Œuvres Universitaire de Dakar (COUD) et des affrontements avec les forces de l’ordre, ils feront face à leur destin ce mardi. Dans la mesure où ces étudiants seront à la barre du Palais de justice de Dakar, ce matin. Un procès sous haute tension en raison de la volonté manifestée de leurs camardes de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui, au-delà de leur présence au Tribunal annoncée hier, exigent leur libération immédiate. Faute de quoi…
Ce, au moment où la tutelle, Mari Teuw Niane, le ministre de l’Enseignement supérieur a fini de leur faire cette proposition pour décrisper la situation : « Reprenez les cours et si au bout d’une semaine, il n’y aucune menace, les forces de l’ordre quitteront l’université ». Ceci pas plus tard que dimanche à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Les étudiants de l’UCAD crachent sur ladite proposition car selon leurs propres termes : il n’est pas question pour eux de cohabiter avec les forces de l’ordre à l’université transformée disent-ils en « camp ».
Dans les liens de la détention depuis mercredi dernier sur pas moins de 80 étudiants, ces 22 étudiants ont été pour leur part, mis sous mandat de dépôt par le Procureur pour troubles à l’ordre public, destruction de biens appartenant à l’Etat, actes de vandalisme et violences et voies de fait à l’agent de la force publique.
Arrêtés dans le cadre des violences universitaires ayant occasionné le saccage du Centre des Œuvres Universitaire de Dakar (COUD) et des affrontements avec les forces de l’ordre, ils feront face à leur destin ce mardi. Dans la mesure où ces étudiants seront à la barre du Palais de justice de Dakar, ce matin. Un procès sous haute tension en raison de la volonté manifestée de leurs camardes de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui, au-delà de leur présence au Tribunal annoncée hier, exigent leur libération immédiate. Faute de quoi…
Ce, au moment où la tutelle, Mari Teuw Niane, le ministre de l’Enseignement supérieur a fini de leur faire cette proposition pour décrisper la situation : « Reprenez les cours et si au bout d’une semaine, il n’y aucune menace, les forces de l’ordre quitteront l’université ». Ceci pas plus tard que dimanche à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Les étudiants de l’UCAD crachent sur ladite proposition car selon leurs propres termes : il n’est pas question pour eux de cohabiter avec les forces de l’ordre à l’université transformée disent-ils en « camp ».
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