Les autorités étatiques doivent durcir les sanctions contre les prédateurs sexuels. C’est la conviction du mouvement «Touche pas à ma sœur», qui a relevé que la peine de 10 ans ne suffit plus pour décourager ceux s’adonnent à ces forfaitures.
«Le nombre de cas est loin d’être négligeable, pour le nombre de cas recensés, nous pouvons en conclure que 2 filles sur 10 sont victimes soit d’attouchements ou de violences sexuelles. Ce constat frise le dégout, mais c’est comme si c’est inscrit dans l’ordre normal de la vie humaine», relate le document réalisé par ledit mouvement parcouru pas L’AS.
Le rapport de relever que les peines fixées contre les prédateurs sexuels sont insignifiantes au vu du préjudice qu’ils ont porté à leurs victimes : «l’emprisonnement de dix (10) ans ne suffit pas pour freiner cette spirale». Car, «dans la presque totalité des cas, la recherche de la préméditation nous a permis de comprendre que la négligence parentale, la promiscuité, la pauvreté en sont les vecteurs directeurs pour ces enfants».
Ce qui lui fait dire que les autorités étatiques doivent tenir en compte ces facteurs et «initier un projet de loi, voire même criminaliser tout acte de viol commis sur un enfant âgé entre 0 et 5 ans».
«Le nombre de cas est loin d’être négligeable, pour le nombre de cas recensés, nous pouvons en conclure que 2 filles sur 10 sont victimes soit d’attouchements ou de violences sexuelles. Ce constat frise le dégout, mais c’est comme si c’est inscrit dans l’ordre normal de la vie humaine», relate le document réalisé par ledit mouvement parcouru pas L’AS.
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