Le mouvement "Y'en a marre" du Sénégal, "Lyina" de Tchad, "Lucha et Filimbi" de RDC, le Balai citoyen Burkina Faso , "Our Destiny" Jeune et Fort de Cameroun, "Ras-le-bol" de Congo, "Wake-up" de Madagascar, "Sindimujia" de Burundi se sont regroupés au tour d’un collectif pour imposer un agenda à la jeunesse africaine.
« L’initiative de cette Université populaire de l’engagement citoyen (Upec), c'est de permettre à la jeunesse africaine de créer son propre agenda. Car, Ils (les jeunes africains) se retrouvent parce qu’ils sont invités ou ils sont regroupés pour qu'ils discutent des problèmes qui ne leur concernent pas», indique le coordonnateur de du Mouvement "Y'en a marre".
Et pour corriger cette erreur, Fadel Barro pense que « cette rencontre permettra à la jeunesse africaine de se retrouver dans son propre environnement pour envisager ensemble les meilleures solutions pour elle. Et La particularité de ce mouvement est d'abord qu’ils sont conscients qu'ils ont le même destin, et ils le construisent ensemble. En ayant un destin commun la responsabilité, c'est de faire la main dans la main pour réussir »
Fatigué d'attendre le concept de panafricanisme, Fadel Barro déclare qu’ici « on pose le jalon pour faire avancer la cause panafricaine », avant d'évoquer les défis à relever : "le défi c'est de mettre la jeunesse africaine ensemble, d'interroger notre action, d'apprendre des autres expériences quand des professeurs comme Zakari , Felwine Sarr ou Said Ahmed qui sont d'éminents professeurs africains viennent interagir avec la jeunesse . L’autre est de donner la parole à la jeunesse africaine, parce que c'est par la parole qu’on façonne le monde et non pas la guerre pour résoudre un problème."
« L’initiative de cette Université populaire de l’engagement citoyen (Upec), c'est de permettre à la jeunesse africaine de créer son propre agenda. Car, Ils (les jeunes africains) se retrouvent parce qu’ils sont invités ou ils sont regroupés pour qu'ils discutent des problèmes qui ne leur concernent pas», indique le coordonnateur de du Mouvement "Y'en a marre".
Et pour corriger cette erreur, Fadel Barro pense que « cette rencontre permettra à la jeunesse africaine de se retrouver dans son propre environnement pour envisager ensemble les meilleures solutions pour elle. Et La particularité de ce mouvement est d'abord qu’ils sont conscients qu'ils ont le même destin, et ils le construisent ensemble. En ayant un destin commun la responsabilité, c'est de faire la main dans la main pour réussir »
Fatigué d'attendre le concept de panafricanisme, Fadel Barro déclare qu’ici « on pose le jalon pour faire avancer la cause panafricaine », avant d'évoquer les défis à relever : "le défi c'est de mettre la jeunesse africaine ensemble, d'interroger notre action, d'apprendre des autres expériences quand des professeurs comme Zakari , Felwine Sarr ou Said Ahmed qui sont d'éminents professeurs africains viennent interagir avec la jeunesse . L’autre est de donner la parole à la jeunesse africaine, parce que c'est par la parole qu’on façonne le monde et non pas la guerre pour résoudre un problème."
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