L’histoire nous enseigne que dans un monde en pleine turbulence, des leaders légendaires ont su cheminer et s’entendre sur l’essentiel. Mandela-De Klerk, Reagan-Gorbatchev. Nos dirigeants actuels pourraient s’en inspirer.
L’idée ici, n’est pas d’occulter les prérogatives constitutionnelles que le Président Bassirou DIOMAYEFAYE tire de la constitution, et qui font de lui la clef de voûte de nos institutions avec de larges pouvoirs constitutionnels, mais d’admettre que le contexte politique dans lequel il a été élu peut,au besoin justifier,de concéder certainesprérogatives au Premier ministre, qui reste théoriquement le chef de la majorité parlementaire. Ne disait-il pas d’ailleurs lors d’un entretien avec la presse locale qu’il voudrait un Premier ministre super fort ?
En outre, sa visite réussieaux Etats unis et celle du Premier ministreOusmane SONKO en Chine ressemble fort bien à un partage des rôles entre les deux hommes.
Il n’avait non plus pas hésité lors d’un autre point de presse, d’inviter le Premier ministreOusmane SONKO à ne pas quitter des yeux le fauteuil présidentiel qu’il occupe. Non sans rappeler qu’il s’est battu pendant dix ans pour le faire élire à la fonction présidentielle et qu’au « finish », en raison de l’invalidation de sa candidature par le conseil constitutionnel, celui-ci l’a fait élire Président, en battant campagne pour lui pendant seulement 10 jours.
Le Premier ministreOusmane SONKO en retour lui retourne ses politesses etaccepte de conduire le premier gouvernement sous son magistère en se montrant tout à fait loyal depuis sa nomination à ce poste.
Diantre, pourquoi les détracteurs du régime actuel veulent semer la zizanie entre les deux hommes et vouloir en faire un programme de campagne par des attaques en dessous de la ceinture contre l’actuel Premier ministre, un homme qui a énormément de mérite.
De sa radiation de la fonction publique aux événements de mars 2021 et de tout ce qui s’en est suivi, il a fait montre avec le Président Bassirou DIOMAYE FAYE et son parti, le PASTEF d’une bravoure, d’un patriotisme, d’un esprit de sacrifice et d’une résilience sans faille pour paraphraser Donald TRUMP qui l’a rappelé au Président FAYE lors de la récente audience qu’il lui a accordée. Ce qui a finalement permis de venir à bout d’un système politique cinquantenaire et d’un régime ne s’empêchant aucune limite pour anéantir ses adversaires politiques.
Le vrai sujet qui est attendu de l’opposition actuelle doit être un débat programmatique : la dette, l’agriculture, la santé, l’éducation, les pôles territoriaux etc.
Sur ce terrain, peu de contre-propositions émergent et le peuple n’est pas dupe et sait lire entre les critiques constructives et les discours aux teneurs exclusivement politiques.
La foule qui a célébrél’anniversaire du Président du PASTEF montre à souhait que l’usure du pouvoir est loin de faire ses effets, et en dépit de ce qu’en pense une certaine opinion, il détient encore le tempo politique. Il lui a fallu une seule sortie pour éclipser toutes les analyses et théories bâties autour de l’actualité savamment entretenue sur les chroniqueurs.
Au final, on retiendra que les deux hommes en dépit de leur différence de tempérament sont deux faces d’une même pièce condamnés à cheminer ensemble, l’échec ou la victoire de l’un emportera forcément la défaite ou la gloire de l’autre.
Mamadou BA, consultant en ressources humaines, membre des cadres de TABAX
L’idée ici, n’est pas d’occulter les prérogatives constitutionnelles que le Président Bassirou DIOMAYEFAYE tire de la constitution, et qui font de lui la clef de voûte de nos institutions avec de larges pouvoirs constitutionnels, mais d’admettre que le contexte politique dans lequel il a été élu peut,au besoin justifier,de concéder certainesprérogatives au Premier ministre, qui reste théoriquement le chef de la majorité parlementaire. Ne disait-il pas d’ailleurs lors d’un entretien avec la presse locale qu’il voudrait un Premier ministre super fort ?
En outre, sa visite réussieaux Etats unis et celle du Premier ministreOusmane SONKO en Chine ressemble fort bien à un partage des rôles entre les deux hommes.
Il n’avait non plus pas hésité lors d’un autre point de presse, d’inviter le Premier ministreOusmane SONKO à ne pas quitter des yeux le fauteuil présidentiel qu’il occupe. Non sans rappeler qu’il s’est battu pendant dix ans pour le faire élire à la fonction présidentielle et qu’au « finish », en raison de l’invalidation de sa candidature par le conseil constitutionnel, celui-ci l’a fait élire Président, en battant campagne pour lui pendant seulement 10 jours.
Le Premier ministreOusmane SONKO en retour lui retourne ses politesses etaccepte de conduire le premier gouvernement sous son magistère en se montrant tout à fait loyal depuis sa nomination à ce poste.
Diantre, pourquoi les détracteurs du régime actuel veulent semer la zizanie entre les deux hommes et vouloir en faire un programme de campagne par des attaques en dessous de la ceinture contre l’actuel Premier ministre, un homme qui a énormément de mérite.
De sa radiation de la fonction publique aux événements de mars 2021 et de tout ce qui s’en est suivi, il a fait montre avec le Président Bassirou DIOMAYE FAYE et son parti, le PASTEF d’une bravoure, d’un patriotisme, d’un esprit de sacrifice et d’une résilience sans faille pour paraphraser Donald TRUMP qui l’a rappelé au Président FAYE lors de la récente audience qu’il lui a accordée. Ce qui a finalement permis de venir à bout d’un système politique cinquantenaire et d’un régime ne s’empêchant aucune limite pour anéantir ses adversaires politiques.
Le vrai sujet qui est attendu de l’opposition actuelle doit être un débat programmatique : la dette, l’agriculture, la santé, l’éducation, les pôles territoriaux etc.
Sur ce terrain, peu de contre-propositions émergent et le peuple n’est pas dupe et sait lire entre les critiques constructives et les discours aux teneurs exclusivement politiques.
La foule qui a célébrél’anniversaire du Président du PASTEF montre à souhait que l’usure du pouvoir est loin de faire ses effets, et en dépit de ce qu’en pense une certaine opinion, il détient encore le tempo politique. Il lui a fallu une seule sortie pour éclipser toutes les analyses et théories bâties autour de l’actualité savamment entretenue sur les chroniqueurs.
Au final, on retiendra que les deux hommes en dépit de leur différence de tempérament sont deux faces d’une même pièce condamnés à cheminer ensemble, l’échec ou la victoire de l’un emportera forcément la défaite ou la gloire de l’autre.
Mamadou BA, consultant en ressources humaines, membre des cadres de TABAX
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