«La situation humanitaire catastrophique à Gaza constitue une bombe à retardement, avec de réels risques de voir la radicalisation et le sectarisme gagner du terrain», a lancé le ministre des Affaires étrangères, ce lundi, à l’occasion de la réunion du Groupe de l’OCI sur la Palestine. Rencontre organisée dans le cadre de la 71e assemblée générale de l’ONU, Mankeur Ndiaye n’a pas raté l’occasion pour appeler Israël à lever le blocus à Gaza, en application de la résolution 1860 (2009) du Conseil de Sécurité.
De ce point de vue, au-delà de la prise en charge humanitaire, «il s’agit d’œuvrer pour le redressement de l’économie palestinienne qui se trouve dans une situation difficile principalement en raison de l’occupation mais aussi de la baisse de l’assistance des partenaires internationaux », a-t-il préconisé.
«Ma délégation réitère son appel en faveur d’une protection internationale du Peuple palestinien et réaffirme son soutien à l’initiative tendant à faire de 2017 l’année de la fin de l’occupation qui dure depuis bientôt 50 ans», a dit le chef de la diplomatie sénégalaise.
Mankeur Ndiaye a déploré «la poursuite de la colonisation qui s’est encore matérialisée dernièrement par la décision des autorités israéliennes d’ériger 463 nouvelles unités en Cisjordanie, ce qui porte ce nombre à plus de 1700, au titre de l’année en cours, avec un impact particulièrement négatif sur les enfants».
Le ministre a relevé que les cinq (5) pays membres du Comité des Nations unies pour l’exercice des droits inaliénables du Peuple palestinien, également présents au Conseil de sécurité, en l’occurrence l’Angola, l’Egypte, la Malaisie, le Venezuela et le Sénégal, «ont exprimé le souhait d’inscrire, de façon régulière, la dimension humanitaire dans les territoires occupés aux briefings du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient, y compris la Palestine».
Avec APS.
De ce point de vue, au-delà de la prise en charge humanitaire, «il s’agit d’œuvrer pour le redressement de l’économie palestinienne qui se trouve dans une situation difficile principalement en raison de l’occupation mais aussi de la baisse de l’assistance des partenaires internationaux », a-t-il préconisé.
«Ma délégation réitère son appel en faveur d’une protection internationale du Peuple palestinien et réaffirme son soutien à l’initiative tendant à faire de 2017 l’année de la fin de l’occupation qui dure depuis bientôt 50 ans», a dit le chef de la diplomatie sénégalaise.
Mankeur Ndiaye a déploré «la poursuite de la colonisation qui s’est encore matérialisée dernièrement par la décision des autorités israéliennes d’ériger 463 nouvelles unités en Cisjordanie, ce qui porte ce nombre à plus de 1700, au titre de l’année en cours, avec un impact particulièrement négatif sur les enfants».
Le ministre a relevé que les cinq (5) pays membres du Comité des Nations unies pour l’exercice des droits inaliénables du Peuple palestinien, également présents au Conseil de sécurité, en l’occurrence l’Angola, l’Egypte, la Malaisie, le Venezuela et le Sénégal, «ont exprimé le souhait d’inscrire, de façon régulière, la dimension humanitaire dans les territoires occupés aux briefings du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient, y compris la Palestine».
Avec APS.
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