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Immersion à Grand Dakar où une association a trouvé une solution à la lutte contre la délinquance juvénile



Moustapha Gueye,  membre fondateur de l'association «Wa Niak Jarinoo »
Moustapha Gueye, membre fondateur de l'association «Wa Niak Jarinoo »
Durant le week-end, trois cas de meurtres ont été enregistrés à Dakar. A Pikine, Fatou Kiné Gaye a été assassinée dans son lieu de travail, Pape Niang, a lui aussi été sauvagement poignardé au cours d’une bagarre et à Diamagueune Sicap Mbao. Samedi, c'est Khabane Dieng qui a succombé après avoir été gravement blessé par le frère jumeau du lutteur Mama Lamine. 

Des actes de barbarie le plus souvent notés dans les quartiers populaires. Face à cette insécurité, bon nombre des Sénégalis ont envahi les réseaux sociaux pour réclamer le retour la peine de mort. Une idée que défend Moustapha Gueye, membre fondateur d'une association qui lutte contre la violence urbaine et l'agression. Selon lui, la seule solution aux violences verbales et physique c'est: l’éducation. 
 
PressAfrik est allé à sa rencontre. Riverain de Grand Dakar (banlieue dakaroise), le membre fondateur de l'association «Wa Niak Jarinoo » refuse que la violence soit un attribut des quartiers populaires. Une perception qu’il a su se défaire grâce à la création en 2000, d’une cette association qui compte quatre génération. Son quotidien est de « travailler sur la citoyenneté des jeunes et la prévention de la violence et de la délinquance. »

Moustapha Gueye la quarantaine, se félicite aujourd’hui, de présenter des jeunes qui ne s’adonnent ni à la fume ni à l’alcool, encore moins à la délinquance juvénile au moment où l'agression fait débat. Cependant, Moustapha Gueye souhaiterait un appui des élus afin de donner plus de pouvoir aux associations. Regarder...


Fana CiSSE

Lundi 23 Mai 2022 - 13:26


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