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Accusés d’instiguer les thiantacounes à la violence, les libéraux répliquent et dénoncent une « gestion émotionnelle » de l’Etat

Accusé d’être tapi dans l’ombre pour inciter les thiantacounes à la violence, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) n’a pas trop attendu pour apporter une réplique. Le coordonnateur Oumar Sarr et ses partisans demandent au gouvernement d’éviter la gestion émotionnelle des affaires publiques et de s’atteler à instaurer un climat apaisé, seul capable de rassurer les sénégalais et leur rendre confiance.



Accusés d’instiguer les thiantacounes à la violence, les libéraux répliquent et dénoncent une « gestion émotionnelle » de l’Etat
Les promesses non tenues par l’actuel régime sont la seule explication servie par les libéraux concernant l’exacerbation de violence qui secoue le pays ces derniers jours. « La rupture du dialogue entre gouvernants et gouvernés, la tyrannie et la brutalité de la nouvelle gouvernance du pays, ne peuvent que cristalliser la tension permanente dans notre pays exacerbée par la déception née des promesses aux populations non tenues et des erreurs cumulées qui dénotent l’amateurisme et l’improvisation au lieu d’une vision claire de l’avenir, des projets et des moyens », pestent les libéraux dans les colonnes du journal « L’As ».
 
Par ailleurs, « le gouvernement qui a fini de faire la preuve de son incurie et qui est l’unique responsable de la tension qui règne dans notre pays depuis son avènement, ne saurait se soustraire de ses responsabilités, notamment des promesses électorales, pour s’attaquer à notre parti, totalement étranger aux violences de ces dernières journées », ajoutent Oumar Sarr et Cie.
 
 
 


Mercredi 24 Octobre 2012 - 12:38


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