« Plus de 125 millions de filles et de femmes dans le monde ont subi des mutilations génitales et plus de 100 millions d’entre elles vivent en Afrique. Malgré les législations locales et internationales, la pratique se poursuit et 30 millions de filles courent le risque d’être excisées d’ici les 10 prochaines années », rapporte l’ONG dans un communiqué de presse.
Et pour faire face, il faut miser sur la sensibilisation et l’implication des communautés concernées. Adama Coulibaly, Directeur Régional de Plan pour l'Afrique de l’Ouest et du Centre explique d’ailleurs que « nous avons réussi à mettre fin à la pratique de l’excision dans des dizaines de villages par la sensibilisation et l’implication des communautés locales. Changer les mentalités ne coûte pas beaucoup d’argent, il nécessite surtout de sérieux efforts et un engagement actif ».
« Plan utilise les approches « enfant-enfant » et « enfant-parent », ceci pour permettre aux filles d’être informées et de faire la promotion de leurs droits. Les parents y adhérent également par l’utilisation de méthodes créatiques et qui ne heurtent pas les sensibilités. Les messages sont communiqués de différentes manières : l'action, les dessins, les poésies, les chansons, etc. »
L’artiste Didier Awadi est en phase avec cette démarche, ainsi il soutient que « mon arme est ma musique, mes paroles. Je suis convaincu et je sais bien qu’elle peut changer et a eu à changer les comportements. J’ai vécu une belle expérience avec Plan international en contribuant à la promotion des droits des enfants, à ma manière. Je continuerai à utiliser ma voix pour le bien-être des enfants. »
Awadi qui pense que « la musique à elle seule peut délier les langues, elle arrive à atteindre les cœurs, et arrive à enlever le caractère tabou sur beaucoup de choses », veut que « nous donnons à la nouvelle génération la garantie que plus rien ne sera comme avant et que leur avenir est notre priorité. »
Et pour faire face, il faut miser sur la sensibilisation et l’implication des communautés concernées. Adama Coulibaly, Directeur Régional de Plan pour l'Afrique de l’Ouest et du Centre explique d’ailleurs que « nous avons réussi à mettre fin à la pratique de l’excision dans des dizaines de villages par la sensibilisation et l’implication des communautés locales. Changer les mentalités ne coûte pas beaucoup d’argent, il nécessite surtout de sérieux efforts et un engagement actif ».
« Plan utilise les approches « enfant-enfant » et « enfant-parent », ceci pour permettre aux filles d’être informées et de faire la promotion de leurs droits. Les parents y adhérent également par l’utilisation de méthodes créatiques et qui ne heurtent pas les sensibilités. Les messages sont communiqués de différentes manières : l'action, les dessins, les poésies, les chansons, etc. »
L’artiste Didier Awadi est en phase avec cette démarche, ainsi il soutient que « mon arme est ma musique, mes paroles. Je suis convaincu et je sais bien qu’elle peut changer et a eu à changer les comportements. J’ai vécu une belle expérience avec Plan international en contribuant à la promotion des droits des enfants, à ma manière. Je continuerai à utiliser ma voix pour le bien-être des enfants. »
Awadi qui pense que « la musique à elle seule peut délier les langues, elle arrive à atteindre les cœurs, et arrive à enlever le caractère tabou sur beaucoup de choses », veut que « nous donnons à la nouvelle génération la garantie que plus rien ne sera comme avant et que leur avenir est notre priorité. »
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