Parmi ce matériel, il y a les "matraques incapacitantes à impulsions électriques" et les "menottes pour chevilles à chaîne lestée".
Selon le rapport d’Amnesty publié ce mardi, ces éléments sont "intrinsèquement cruels et inhumains" et doivent être bannis.
L’ONG dénonce notamment la vente de matraques électriques "vraisemblablement fabriquées en Chine" aux forces de l’ordre ghanéenne, égyptienne, sénégalaise et malgache.
Les agents de police de ces pays utiliseraient ces dispositifs, qui permettent d’envoyer des "décharges extrêmement douloureuses" sur "des zones corporelles telles que les parties génitales, l’aine, la gorge ou les oreilles".
Amnesty International craint que le "commerce des instruments de torture et de répression" favorise les "atteintes aux droits humains dans le monde".
Le 18 septembre dernier, l’ONG publiait déjà un rapport sur la torture exercée par la police au Nigéria.
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