N’eût été l’intervention de la SENELEC, le bâtiment abritant le Fonds National pour la Promotion de la Jeunesse (FNPJ) sis à l’avenue Bourguiba allait être réduit en cendres. En effet, tout est parti de l’explosion d’un compteur installé à la direction des projets, précise notre source qui renseigne d’un laxisme manifeste au FNPJ car dit-elle, ce n’est pas la première fois qu’un tel incident se produit et il n'y a même pas eu d'extincteur pour arrêter les flammes. Interpellés en premier lieu, les sapeurs-pompiers ont tout bonnement décliné l’appel au secours, soutenant que l’accident n’émane pas de leur domaine, poursuit notre interlocuteur qui renseigne que le FNPJ a été obligé de se rabattre sur la SENELEC qui a finalement réussi à limiter les dégâts.
L’incendie a causé des dommages car pour l’instant rien ne fonctionne et tout est à l’arrêt au FNPJ, conclut notre interlocuteur. Toutefois, la chargée de communication du FNPJ que nous avons eue au téléphone drédramatise en expliquant qu'il n'y a pas eu d'incendie et que c'est seulement un modulaire qui dégageait de la fumée et qui a été réparé par un électricien.
L’incendie a causé des dommages car pour l’instant rien ne fonctionne et tout est à l’arrêt au FNPJ, conclut notre interlocuteur. Toutefois, la chargée de communication du FNPJ que nous avons eue au téléphone drédramatise en expliquant qu'il n'y a pas eu d'incendie et que c'est seulement un modulaire qui dégageait de la fumée et qui a été réparé par un électricien.
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