L’ordre protocolaire dans lequel se succèdent les dirigeants du monde à la tribune de l’ONU est quelque peu obscur. On sait que, historiquement, le Brésil est toujours premier, mais ensuite c’est en vertu d’un algorithme complexe, explique l’ONU, et de quelques arrangements de dernière minute.
Ce mardi, pour l’Afrique, c’est le président égyptien qui devra succéder, en troisième position, au Brésilien Bolsonaro et à l’Américain Donald Trump. Puis doivent s’exprimer au milieu des autres, au cours de cette première journée, les présidents du Nigeria, du Burkina Faso, du Rwanda, de l’Angola, du Niger, du Sénégal et, pour finir, le Premier ministre marocain.
Pas de « bilatérales » avec la France au programme
Côté coulisses, les « bilatérales » comme on dit, c’est-à-dire les tête-à-tête entre chefs d’État, se décident au jour le jour. On sait toutefois que le président français Emmanuel Macron n’a pour l’instant aucun président africain à son agenda.
Enfin, deux dossiers s’imposent pour le continent cette semaine. Un G5 Sahel doit se tenir mercredi. Et l’autre sujet dominant est la Libye. Un premier sommet des « parrains » du conflit devrait se tenir jeudi à l’initiative de la France et de l’Italie, avec la participation de l’Union africaine et de l’Égypte, soutien du maréchal Haftar. L’idée est d’en faire le prélude à un sommet entre belligérants, sur le territoire libyen.
La Centrafrique s’invite à l’agenda
Ce grand rendez-vous des dirigeants de la planète est l'occasion pour de nombreux diplomates de plaider, en marge des plénières, pour la cause de leur pays. La Centrafrique, elle, souhaite que la communauté internationale ne s'arrête pas à la levée partielle de l'embargo sur les armes qu'elle a obtenue.
"L’objectif du gouvernement, c’est une levée totale de la sanction", a déclaré Ange-Maxime Kazagui, porte-parole du gouvernement centrafricain
Ce mardi, pour l’Afrique, c’est le président égyptien qui devra succéder, en troisième position, au Brésilien Bolsonaro et à l’Américain Donald Trump. Puis doivent s’exprimer au milieu des autres, au cours de cette première journée, les présidents du Nigeria, du Burkina Faso, du Rwanda, de l’Angola, du Niger, du Sénégal et, pour finir, le Premier ministre marocain.
Pas de « bilatérales » avec la France au programme
Côté coulisses, les « bilatérales » comme on dit, c’est-à-dire les tête-à-tête entre chefs d’État, se décident au jour le jour. On sait toutefois que le président français Emmanuel Macron n’a pour l’instant aucun président africain à son agenda.
Enfin, deux dossiers s’imposent pour le continent cette semaine. Un G5 Sahel doit se tenir mercredi. Et l’autre sujet dominant est la Libye. Un premier sommet des « parrains » du conflit devrait se tenir jeudi à l’initiative de la France et de l’Italie, avec la participation de l’Union africaine et de l’Égypte, soutien du maréchal Haftar. L’idée est d’en faire le prélude à un sommet entre belligérants, sur le territoire libyen.
La Centrafrique s’invite à l’agenda
Ce grand rendez-vous des dirigeants de la planète est l'occasion pour de nombreux diplomates de plaider, en marge des plénières, pour la cause de leur pays. La Centrafrique, elle, souhaite que la communauté internationale ne s'arrête pas à la levée partielle de l'embargo sur les armes qu'elle a obtenue.
"L’objectif du gouvernement, c’est une levée totale de la sanction", a déclaré Ange-Maxime Kazagui, porte-parole du gouvernement centrafricain
Autres articles
-
Nigeria: des dizaines de soldats et policiers arrêtés pour des soupçons de trafic d'armes à des groupes
-
Accès aux Services Financiers : une croissance de 4 milliards USD attendu d'ici 2033
-
Nigeria : Le bilan des inondations s’élève désormais à 151 morts
-
Nigeria: le bilan des inondations dans le ville de Mokwa passe à au moins 115 morts
-
Nigeria: plus de 10 000 personnes tuées depuis deux ans à cause de l'insécurité, selon Amnesty International