| 13/01/2015 | Politique

ayant jalonné son parcours de chef de guerre. Toutefois, des autres factions du MFDC et de la Guinée- Bissau, entre sa faction et le gouvernement du Sénégal, fidèle à sa réputation n'a pas manqué de rappeler que la paix en Casamance ne pourra s'obtenir sans lui et ses hommes. Un message envoyé dans un cocktail de piques et de menaces dirigées à l'endroit de l'Etat du Sénégal, il s'est ouvert, la semaine dernière au service Lusophone de la Voice of America (VOA). Le chef rebelle du Mouvement des forces démocratique de Casamance (MFDC), le chef de guerre radical du MFDC d'informé que « Toutes négociations qui se déroulent dans des bureaux autres que ceux de la médiation de la communauté Saint'Egidio ne sauraient engager le MFDC et ne sont donc rien de plus que du bluff »., menace : « Nous attendons cependant de voir si le Sénégal continuera d'honorer ses engagements dans les négociations, nos bazookas sont ici » Salif Sadio de nouveau dans la presse. Suite à sa sortie lors d'une interview avec l'Agence de presse Portuguese News Networks (PNN), nous avons décidé de déclarer et d'observer un trêve unilatérale afin de donner une ouverture et d'établir la confiance dans les négociations » à-t-il déclaré. Comme pour exprimer des doutes sur la volonté réelle de l'Etat du Sénégal à continuer de dialoguer avec lui, on peut rappeler que le chef rebelle a toujours flairé la main du Sénégal dans les supposés complots et trahisons, par le biais de la médiation de la communauté Sant'Egidio, réels ou faux, Salif Sadio, Salif Sadio menace encore « Si l'Etat ne fait pas ses promesses..., Salif Sadio reconnaît d'abord la volonté des deux parties et salue les efforts des médiateurs. « Avec la volonté exprimée par Dakar à entamer des négociations avec nous à Rome, sinon nos bazookas sont ici ». En attendant de savoir de quels engagements Salif Sadio fait allusion, sous les auspices de la Communauté Saint'Egidio, écrit l' « Enquête ». Ainsi sur les négociations en cours en Rome