Après plusieurs semaines de conflit, les travailleurs de la justice ont décidé de suspendre leur mouvement de grève. Cette décision a été prise pour « donner une chance aux négociations avec le gouvernement ».
Selon Me Aya Boun Malik Diop, secrétaire général du Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sudjust), « cette grève a été "très longue". Elle a duré 45 jours consécutifs et a été très éprouvante pour les Sénégalais et les Sénégalaises qui ont été privés de justice », a-t-il déclaré.
Il a ajouté que les travailleurs de la justice, « en tant que patriotes et républicains », ont été « très sensibles à ces difficultés éprouvées par leurs concitoyens ». Il a précisé que « dès que les négociations ont été ouvertes entre le gouvernement et l'entente, une pause a été observée pour permettre aux citoyens d'accéder aux services publics de la justice. «C'est pour vous dire que les Sénégalais sont au centre de nos préoccupations », a-t-il confié à la Rfm.
L'avocat a également appelé le gouvernement à agir : « Il faudrait que le « fasse preuve d'écoute et d'ouverture pour prendre en charge les préoccupations majeures de ces hommes et de ces femmes qui servent leur nation à travers le service public de la justice. En tout cas, c'est tout ce que nous demandions : un peu d'écoute et une prise en charge efficace de nos doléances. Nous espérons que cette suspension du mandat de grève sera mise à profit par le gouvernement pour qu'on puisse aller de l'avant ».
Pour rappel, l'entente entre le Sudjust et le Syndicat National des Travailleurs de la Justice (NTJ) avait débuté son mouvement de grève le 18 juin.
Selon Me Aya Boun Malik Diop, secrétaire général du Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sudjust), « cette grève a été "très longue". Elle a duré 45 jours consécutifs et a été très éprouvante pour les Sénégalais et les Sénégalaises qui ont été privés de justice », a-t-il déclaré.
Il a ajouté que les travailleurs de la justice, « en tant que patriotes et républicains », ont été « très sensibles à ces difficultés éprouvées par leurs concitoyens ». Il a précisé que « dès que les négociations ont été ouvertes entre le gouvernement et l'entente, une pause a été observée pour permettre aux citoyens d'accéder aux services publics de la justice. «C'est pour vous dire que les Sénégalais sont au centre de nos préoccupations », a-t-il confié à la Rfm.
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