
Peu de progrès économique en six ans, c’est ce qu’indique ce document dont l’APS détient une copie, qui renseigne que la croissance moyenne du Produit Intérieur Brut (PIB) au cours de la décennie 1995-2005 qui était de 5%, a chuté de 3,3% au cours de la période 2006-2011, qui n’est qu’un peu plus que le taux annuel de croissance démographique qui est de 2,6%.
A en croire le document de huit pages rendu public à l’occasion de l’atelier régional de deux jours (les 6 et 7 décembre) des pays de l’Afrique de l’Ouest sur la mise en œuvre de l’accord de partenariat de Busan et la mobilisation des parties prenantes à la plateforme africaine pour l’efficacité du développement (APDev), « cette moins bonne performance tient, en partie, aux chocs extérieurs, avec notamment une faible pluviométrie en 2006 et en 2011, le ralentissement économique mondial en 2008-2009 et la hausse du prix du pétrole ».
Par ailleurs, dans cette rencontre organisée par le nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), en collaboration avec le ministère sénégalais de l’Economie et des Finances, la crise dans les industries chimiques au Sénégal (ICS), les problèmes du secteur de l’Energie, mais surtout les problèmes de gouvernance sont cités comme étant des freins récurrents à l’Economie nationale.
A en croire le document de huit pages rendu public à l’occasion de l’atelier régional de deux jours (les 6 et 7 décembre) des pays de l’Afrique de l’Ouest sur la mise en œuvre de l’accord de partenariat de Busan et la mobilisation des parties prenantes à la plateforme africaine pour l’efficacité du développement (APDev), « cette moins bonne performance tient, en partie, aux chocs extérieurs, avec notamment une faible pluviométrie en 2006 et en 2011, le ralentissement économique mondial en 2008-2009 et la hausse du prix du pétrole ».
Par ailleurs, dans cette rencontre organisée par le nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), en collaboration avec le ministère sénégalais de l’Economie et des Finances, la crise dans les industries chimiques au Sénégal (ICS), les problèmes du secteur de l’Energie, mais surtout les problèmes de gouvernance sont cités comme étant des freins récurrents à l’Economie nationale.
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