Bus Dakar Dem Dikk, Tata et même cars rapides et ndiaga ndiaye constituent ce lundi matin des denrées rares. Certains usagers à défaut de solutions n’hésitent pas à emprunter la marche, tandis que d’autres sont contraints de rebrousser chemin.
A cet effet, la route, orpheline de ses véhicules, se trouvent prise d’assaut par une marée humaine en quête désespérée de solutions. Le manque de communication dans cette grève est ce que déplorent beaucoup, même si certains admettent avoir été mis au parfum.
Du côté des transporteurs, la hausse du prix du carburant explique l’origine de cette grève. Toutefois, la violence est redoutée dans ce secteur, car le syndicat des chauffeurs en grève est formel et déterminé à en découdre avec les chauffeurs qui s’entêteront de poursuivre leur travail.
Avec cette grève à l’improviste pour beaucoup en ce début de semaine, le travail peinera à prendre son cours normal.
Autres articles
-
Tour international de la Casamance : l’initiateur plaide pour sortir le sud du Sénégal de la zone rouge sur internet
-
4ᵉ opération d’Appel Public à l’Épargne : le Sénégal veut mobiliser 400 milliards FCFA
-
Jeux Olympiques de la Jeunesse 2026 : le COJOJ en mission de sensibilisation à Kolda
-
Distribution de l'eau : SEN’EAU et SENELEC annoncent des perturbations ce samedi
-
Sénégal : le FMI annonce des progrès pour un nouveau programme de prêts et enquête sur les dettes non déclarées




Tour international de la Casamance : l’initiateur plaide pour sortir le sud du Sénégal de la zone rouge sur internet


