"Je pense que ce n'est pas 142 votants, c'est moins que cela", sert le président du groupe parlementaire de la majorité de marteler: "Absolument, il y a une erreur dans le décompte". "Mais ce qui est clair, selon lui, "c'est qu'une forte majorité s'est prononcée en faveur de la proposition de loi. ça, ils le savent". De ce fait, dans l'entendement du responsable de l'Alliance Pour la République (APR-pouvoir), l'opposition "fait dans l'agitation politicienne pour encore continuer à exister parce qu'ils n'ont que ça comme moyen de survie".
Ce, d'autant plus que "c'est une erreur de bonne foi parce que celui qui faisait le décompte n'a aucun intérêt à gonfler les résultats. A l'Assemblée nationale, il y a la votation par main levée et vous savez qu'il est plus facile de compter quatre (4) mains qu'une centaine de mains...Dans le décompte, il a certainement eu une exagération mais ce n'est pas de la mauvaise foi", déclare Moustapha Diakhaté dans "Enquête".
"En tous cas, ce n'est pas de demander au président de l'Assemblée nationale d'annuler le vote. C'est là où ils se sont trompé. Véritablement, ils ont frappé à une mauvaise porte. La porte pour contester un vote à l'Assemblée nationale, ce n'est pas le président. A ce que je sache, ces parlementaires contestataires ne sont pas des ignorants...", coupe ce dernier qui minimise la démission de Mamadou Lamine Diallo de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).
"C'est la démission la plus bizarre parce qu'il nous reproche de dévier des Assises nationales alors que toutes les réformes que nous avons introduites dans le Réglement intérieur de l'Assemblée nationale sont inspirées des conclusions de ces Assises...", réplique l'apériste.
Ce, d'autant plus que "c'est une erreur de bonne foi parce que celui qui faisait le décompte n'a aucun intérêt à gonfler les résultats. A l'Assemblée nationale, il y a la votation par main levée et vous savez qu'il est plus facile de compter quatre (4) mains qu'une centaine de mains...Dans le décompte, il a certainement eu une exagération mais ce n'est pas de la mauvaise foi", déclare Moustapha Diakhaté dans "Enquête".
"En tous cas, ce n'est pas de demander au président de l'Assemblée nationale d'annuler le vote. C'est là où ils se sont trompé. Véritablement, ils ont frappé à une mauvaise porte. La porte pour contester un vote à l'Assemblée nationale, ce n'est pas le président. A ce que je sache, ces parlementaires contestataires ne sont pas des ignorants...", coupe ce dernier qui minimise la démission de Mamadou Lamine Diallo de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).
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