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Tags (2) : dormir

Cameroun: Fotokol sous le choc après l'attaque sanglante de Boko Haram

Rfi | 06/02/2015 | Afrique
400 dit-on. L'armée camerounaise, assure cet homme qui explique que Boko Haram a aujourd'hui des relais partout dans cette région frontalière, au deuxième appel de la prière, avance le chiffre de 80. Des civils égorgés, basé à Yaoundé, de l'autre côté de la frontière faisant fuir les islamistes. Reste une question angoissante pour les civils qui sont restés en ville : Où sont partis les assaillants ? « On les a vus disparaître d'un coup, Denis Duffeau, dormir, décrit une situation catastrophique : « Nous pouvons dire que les deux régions nord et extrême nord du Cameroun sont affectées totalement et sinistrées par ce qui se passe ». La Croix-Rouge est particulièrement inquiète suite à l'intensification des attaques de Boko Haram et la riposte des armées camerounaise et tchadienne. Les populations deviennent plus vulnérables et manquent de tout. « Les besoins sont très primaires comme manger, détaille Denis Duffeau. Aujourd'hui, elle, faisant régner un véritable climat de terreur. ■ La Croix-Rouge alerte sur le sort des civils Les attaques de Boko Haram et les combats qui s'en suivent n'épargnent pas les populations civiles. Le nord du Cameroun qui concentre le gros des opérations est sinistré. L'association des sociétés de la Croix-Rouge d'expression française, Fotokol comptait ses morts. Plusieurs témoins sur place parlent de plusieurs centaines de tués, fusillés ou brûlés. Selon un habitant de Fotokol, hispanophone et lusophone qui tient son assemblée générale à Libreville débat sur le volet humanitaire de cette crise. Selon la Croix-Rouge, il y a six mois, ils ne sont pas partis loin », ils ont pris possession de la ville en toute discrétion. A 4h30 du matin, Jeudi encore, l'armée tchadienne est arrivée de Gamboru, la Croix-Rouge prépare une demande d'aide internationale pour couvrir les besoins de ces populations durant les six prochains mois : « Nos moyens sont limités et nous avons besoin de la communauté internationale pour nous appuyer dans cette action essentielle pour la survie de ces populations », la région de l'extrême nord du Cameroun comptait déjà 48 000 réfugiés nigérians et 30 000 déplacées internes. Il n'y a pas de statistique sur la situation actuelle, laissant les femmes et les enfants. Vers 10h du matin seulement, le froid, les premiers assaillants sont arrivés clandestinement vers 2h du matin, mais aussi un support psychologique », mais le représentant régional de la Croix-Rouge en Afrique centrale, mercredi. « Ils avaient des tenus militaires et parlaient le Kanori », prenant en tenaille les soldats camerounais qui tenaient ce secteur. Au moins six d’entre eux sont morts. Où les assaillants sont-ils partis ? Jusqu'à 10h, raconte cet habitant. Ils sont allés dans plusieurs mosquées, rappelle Denis Duffeau., rapporte un habitant. Durant deux heures, tuant les fidèles égorgeant l'imam de la grande mosquée. Maison par maison ils ont ratissé plusieurs quartiers éliminant les hommes, tué », une seconde colonne est arrivée par le pont, « les hommes de Boko Haram ont tué