Le journaliste et politologue, Yoro Dia a déclaré dans les colonnes de L’Obs que la candidature du Professeur Ibrahima Fall serait une bonne chose.
«Les gens qui ont des partis politiques constituent une minorité écrasante. Les ¾ des électeurs qui élisent le président ne sont dans aucun parti politique», explique-t-il.
A l’en croire, il peut faire une OPA (offre publique d’achat) sur ces ¾ de Sénégalais. Il peut axer son discours sur le fait que les partis politiques ont fait leurs limites», a ajouté Yoro Dia selon qui l’ancien fonctionnaire des Nations-Unies a l’avantage d’être un homme neuf. Pour le journaliste, il est important que des gens comme Ibrahima Fall se lancent dans la course à la présidentielle. En effet, il estime que M. Fall se présente à une échéance qui constitue une transition d’un cycle puisque le président Wade ferme un cycle colonial qui a commencé avec Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf.
A ces atouts, le journaliste politologue pense, néanmoins que Ibrahima Fall présente bien des faiblesses. «Les faiblesses sont liées au fait qu’il n’a pas d’appareil politique. Ce qui peut, selon lui est contourné. En plus, poursuit Yoro Dia, M. Fall n’est pas très connu des Sénégalais.
A noter que Ibrahima Fall a officialisé hier sa candidature portée par des personnalités de la société civile tel que le professeur Boubacar Buuba Diop de l’UCAD.
«Les gens qui ont des partis politiques constituent une minorité écrasante. Les ¾ des électeurs qui élisent le président ne sont dans aucun parti politique», explique-t-il.
A l’en croire, il peut faire une OPA (offre publique d’achat) sur ces ¾ de Sénégalais. Il peut axer son discours sur le fait que les partis politiques ont fait leurs limites», a ajouté Yoro Dia selon qui l’ancien fonctionnaire des Nations-Unies a l’avantage d’être un homme neuf. Pour le journaliste, il est important que des gens comme Ibrahima Fall se lancent dans la course à la présidentielle. En effet, il estime que M. Fall se présente à une échéance qui constitue une transition d’un cycle puisque le président Wade ferme un cycle colonial qui a commencé avec Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf.
A ces atouts, le journaliste politologue pense, néanmoins que Ibrahima Fall présente bien des faiblesses. «Les faiblesses sont liées au fait qu’il n’a pas d’appareil politique. Ce qui peut, selon lui est contourné. En plus, poursuit Yoro Dia, M. Fall n’est pas très connu des Sénégalais.
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