Le Dr Mohamed Thermos, âgé de 75 ans et placé sous mandat de dépôt au Pavillon spécial, sera jugé devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar ce vendredi pour « attentat à la pudeur avec violence sur une patiente mineure de 16 ans ». L'incident s'est produit dans son cabinet médical situé à la rue 5 Parchappe (Plateau) à Dakar. La victime présumée, C.C.D., était une patiente de longue date du Dr Thermos, qui était le médecin-traitant de sa famille.
D'après « Libération », la présumée victime, C.C.D., sur autorisation de son père, elle s'était rendue dans le cabinet médical, accompagnée de sa nounou, pour une consultation après une grippe. Le lendemain, elle est revenue sur les lieux, la nounou l'attendant en bas pour récupérer le certificat médical devant permettre de justifier son absence à l'école. Mais, sur place, le Dr Thermos au motif de vérifier si les dates inscrites sur le certificat médical étaient les bonnes, lui a demandé, d'après sa version des faits, de se rapprocher, ce qu’elle a fait sans arrières pensées.
Par la suite, Dr Thermos lui a remis le certificat médical. Mais, a affirmé C.C.D., alors qu'elle allait sortir du bureau, Dr Thermos aurait saisi ses épaules par-derrière pour la tirer vers lui avant de l'obliger à s'asseoir sur ses jambes. D'après toujours C.C.D., Dr Thermos aurait mis sa main dans sa chemise, puis au fond de sa culotte, tout en la forçant à l'embrasser. Plus grave, le mis en cause aurait sorti son sexe pour le frotter sur sa main tout en lui demandant s'ils resteraient des amis.
Sous le choc et tremblotante, rapporte le quotidien d’information, C.C.D. est parvenue à quitter le cabinet médical avant d'informer directement sa nounou puis ses parents.
Arrêté suite à une plainte, le Dr Thermos a été entendu. Lors de son audition, il a nié les faits, arguant que tout ce que raconte la présumée victime serait faux. Mais, le certificat médical établi par l'hôpital Principal sur réquisition des policiers et après consultation de la présumée victime, évoque une « éraillure récente au niveau de la fourchette vulvaire postérieure ».
Le père de la présumée victime a affirmé aux enquêteurs avoir appelé le Dr Thermos lorsque sa fille l'a informé. Selon ses propos, Dr Thermos, tout en lui présentant des excuses, lui aurait demandé de venir le voir pour « gérer la situation » au lieu de saisir la justice.
Établie en France, F.K.D, la sœur de la présumée victime, a aussi révélé que Dr Thermos avait une fois essayé de la caresser lors d'une consultation, mais qu'elle l'avait vite freiné.
D'après « Libération », la présumée victime, C.C.D., sur autorisation de son père, elle s'était rendue dans le cabinet médical, accompagnée de sa nounou, pour une consultation après une grippe. Le lendemain, elle est revenue sur les lieux, la nounou l'attendant en bas pour récupérer le certificat médical devant permettre de justifier son absence à l'école. Mais, sur place, le Dr Thermos au motif de vérifier si les dates inscrites sur le certificat médical étaient les bonnes, lui a demandé, d'après sa version des faits, de se rapprocher, ce qu’elle a fait sans arrières pensées.
Par la suite, Dr Thermos lui a remis le certificat médical. Mais, a affirmé C.C.D., alors qu'elle allait sortir du bureau, Dr Thermos aurait saisi ses épaules par-derrière pour la tirer vers lui avant de l'obliger à s'asseoir sur ses jambes. D'après toujours C.C.D., Dr Thermos aurait mis sa main dans sa chemise, puis au fond de sa culotte, tout en la forçant à l'embrasser. Plus grave, le mis en cause aurait sorti son sexe pour le frotter sur sa main tout en lui demandant s'ils resteraient des amis.
Sous le choc et tremblotante, rapporte le quotidien d’information, C.C.D. est parvenue à quitter le cabinet médical avant d'informer directement sa nounou puis ses parents.
Arrêté suite à une plainte, le Dr Thermos a été entendu. Lors de son audition, il a nié les faits, arguant que tout ce que raconte la présumée victime serait faux. Mais, le certificat médical établi par l'hôpital Principal sur réquisition des policiers et après consultation de la présumée victime, évoque une « éraillure récente au niveau de la fourchette vulvaire postérieure ».
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