Si beaucoup de commissaires du Conseil des droits de l'homme de l'ONU ont salué les efforts du gouvernement, notamment à travers le retour de la sécurité et la mise en place d'une commission réconciliation, ils déplorent qu'elle ne soit pas assez efficace. Les violences contre les femmes et les jeunes filles, les mutilations génitales font également partie des grosses inquiétudes.
Accélération des procédures judiciaires
Beaucoup demandent aussi une accélération des procédures judiciaires liées à la crise post-électorale, quand le Luxembourg lui dénonce une « culture de l'impunité ». Gnenema Coulibaly, le garde des Sceaux ivoirien, lui, énumère les nombreux textes de protection des droits de l'homme mis en place dans son pays. En oubliant parfois d'envisager que des améliorations soient possibles sur le terrain.
D'après le ministre, c'est parce que les viols et les agressions sexuelles ne sont pas signalés qu'ils sont peu poursuivis. Selon lui, la cellule d'enquête sur la crise est un gage contre l'impunité, alors que ses membres expliquent ne pas avoir les moyens de travailler. Quant aux temps de détentions provisoires, beaucoup trop longs et dénoncés par certains, le ministre explique qu'en l'absence d'adresse physique, il vaut mieux garder longtemps les prévenus que de ne pas pouvoir les retrouver.
Source : Rfi.fr
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