Abdoul Mbaye risque la prison, si le juge suit le réquisitoire du procureur général de la Cour d’appel de Dakar. Attrait à la barre de la deuxième Chambre de la Cour d'appel de Dakar, mardi 18 juin pour répondre des délits de faux, usage de faux et tentative d'escroquerie par son ex-femme Aminata Diack, le juge rend son verdict ce mardi 23 juillet.
Le maître des poursuites Babacar Sadikh Niang avait requis à ce jour un an ferme contre l’ancien Premier ministre.
Pour rappel, l'ancien premier ministre, devant la barre avait réfuté tous les chefs d'accusations qui pesaient sur lui. Pour ce qui est de la tentative d'escroquerie, il soutient que "nul ne peut produire des propos transmis sur lesquels j'aurais voulu soustraire les biens de Madame Aminata Diack".
Mieux, s'exclame-t-il, "jamais dans les liens du mariage je n'ai demandé à madame Aminata Diack, de contribuer dans le ménage. En tant que chef de famille, au moment où j'ai introduit une demande de registre du communauté de biens, le président du Tribunal auparavant m'a demandé si mon épouse était d'accord. Et là, je lui ai transmis un document conjoint. Et cette ordonnance du juge qui n'a jamais été contesté depuis 20 ans".
Abdoul Mbaye de poursuivre: "Après la séparation des biens, on a continué les liens de notre mariage et personne n'a été avantagé dans cette séparation de biens. Je disposais d'un seul bien immobilier avec dette même".
Le maître des poursuites Babacar Sadikh Niang avait requis à ce jour un an ferme contre l’ancien Premier ministre.
Pour rappel, l'ancien premier ministre, devant la barre avait réfuté tous les chefs d'accusations qui pesaient sur lui. Pour ce qui est de la tentative d'escroquerie, il soutient que "nul ne peut produire des propos transmis sur lesquels j'aurais voulu soustraire les biens de Madame Aminata Diack".
Mieux, s'exclame-t-il, "jamais dans les liens du mariage je n'ai demandé à madame Aminata Diack, de contribuer dans le ménage. En tant que chef de famille, au moment où j'ai introduit une demande de registre du communauté de biens, le président du Tribunal auparavant m'a demandé si mon épouse était d'accord. Et là, je lui ai transmis un document conjoint. Et cette ordonnance du juge qui n'a jamais été contesté depuis 20 ans".
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