Le mouvement Gueum Sa Bopp a tenu une séance de travail avec les députés Pape Djibril Fall et Mbaye Dione, centrée sur le « scandale des 08 milliards ». Ces fonds, initialement destinés aux populations en détresse du département de Bakel et des zones touchées par le débordement du fleuve Sénégal, font l'objet de vives controverses. Ensemble, le mouvement et les parlementaires demandent la création d'une commission d'enquête parlementaire afin de faire toute la lumière sur la gestion de ces fonds, d'identifier les responsables et leurs complices, et de rétablir la confiance entre l'État et les citoyens.
Face aux accusations de politisation, le mouvement Gueum Sa Bopp a fermement défendu la nature de son combat. Il affirme que son engagement n'est « pas un calcul politique, mais un acte républicain, citoyen et moral », animé par la volonté de protéger les ressources publiques et de défendre les populations de Bakel. Le mouvement a salué « la démarche patriotique des députés Pape Djibril Fall et Mbaye Dione », y voyant le symbole d'une « opposition lucide, responsable et unie, déterminée à faire triompher la vérité sur le mensonge d'État ».
Par ailleurs, le mouvement a dénoncé avec virulence l'application de nouvelles taxes, qu'il juge particulièrement néfastes dans un contexte de vie chère. Il a qualifié la taxe de 1% sur les paiements en espèces dans les grandes surfaces de « mesure injuste, illégale et économiquement absurde ». Selon ses porte-paroles, il s'agit d'une double taxation qui pénalise le peuple : « Après la TVA, voilà qu'on veut taxer une transaction déjà taxée. Une taxe sur une taxe, c'est une double peine pour le peuple. »
Pour contrer cette mesure, le mouvement a annoncé la mise en place d'une stratégie offensive. Il promet d'engager des concertations avec les organisations de consommateurs et de saisir les plateformes citoyennes « Noo Lank » et « Rappel à l'Ordre » pour former un front commun. En parallèle, un collectif d'avocats a été constitué et déposera, dès ce jeudi 23 octobre, un recours devant la Cour suprême pour demander l'annulation de cette taxe, fondé sur le principe de la double imposition.
Face aux accusations de politisation, le mouvement Gueum Sa Bopp a fermement défendu la nature de son combat. Il affirme que son engagement n'est « pas un calcul politique, mais un acte républicain, citoyen et moral », animé par la volonté de protéger les ressources publiques et de défendre les populations de Bakel. Le mouvement a salué « la démarche patriotique des députés Pape Djibril Fall et Mbaye Dione », y voyant le symbole d'une « opposition lucide, responsable et unie, déterminée à faire triompher la vérité sur le mensonge d'État ».
Par ailleurs, le mouvement a dénoncé avec virulence l'application de nouvelles taxes, qu'il juge particulièrement néfastes dans un contexte de vie chère. Il a qualifié la taxe de 1% sur les paiements en espèces dans les grandes surfaces de « mesure injuste, illégale et économiquement absurde ». Selon ses porte-paroles, il s'agit d'une double taxation qui pénalise le peuple : « Après la TVA, voilà qu'on veut taxer une transaction déjà taxée. Une taxe sur une taxe, c'est une double peine pour le peuple. »
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