Pendant son séjour à Bamako, les relations entre Bert Koenders et le gouvernement malien ont évolué en dents de scie. Au début le tapis rouge lui a été déroulé, mais très rapidement, les officiels maliens l’avaient dans le collimateur. Une lettre de protestation a même été envoyée au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon.
Dans la foulée, les observateurs locaux ont constaté que le président malien, Ibrahim Boubakar Keïta, ne recevait plus en tête-à-tête l’envoyé de l’ONU. Principal reproche : Bamako avait l’impression que Bert Koenders était proche des positions des rebelles touaregs.
Ensuite pour ne pas arranger les choses, des ministres maliens ne lui cachaient pas que la communication de la mission de l’ONU au Mali était qualifiée de désastreuse. Mais sur la fin, les efforts de Bert Koenders ont été reconnus par les plus hautes autorités maliennes.
Dans la foulée, les observateurs locaux ont constaté que le président malien, Ibrahim Boubakar Keïta, ne recevait plus en tête-à-tête l’envoyé de l’ONU. Principal reproche : Bamako avait l’impression que Bert Koenders était proche des positions des rebelles touaregs.
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