
Le dossier des produis phytosanitaires est entre les mains du Doyen des juges qui doit éclairer les zones d’ombre de cette affaire rocambolesque. Entre 2007 et 2012, Aïda Ndiongue a amassé 77 milliards dans les marchés fictifs. Un écheveau qui a mis en émoi le pays dont les populations succombent toujours de paludisme. Malgré les milliards investis dans ce business qui enrichit une horde de personnalité.
La section de recherche de la gendarmerie ainsi que la Division des investigations criminelles (DIC) sont arrivées aux mêmes conclusions dans ce dossier. Il s’agit de « faux et usage de faux et détournement de deniers publics en bande organisée ». Au départ il s’agissait d’un marché de 5 milliards de francs Cfa de produis phytosanitaires exécutés par le ministère de l’Habitat et la Construction à la suite d’un appel d'offres restreint de novembre 2011 pour l’année 2012.
À l’arrivée on se retrouve avec des marchés fictifs évalués à…77 milliards de francs « encaissés » par des sociétés mises en place par Aïda Ndiongue. Dans cette procédure, de hauts gradés de cette structure se retrouvent dans la chaine de complicité. D'après des documents consultés par le journal "Le quotidien", les marchés sont fractionnés au moment de la livraison pour maquiller les chiffres. Car les produits contenus dans le cahier d’appel d’offres et ceux « livrés » aux services d’hygiène ne sont pas identiques.
La section de recherche de la gendarmerie ainsi que la Division des investigations criminelles (DIC) sont arrivées aux mêmes conclusions dans ce dossier. Il s’agit de « faux et usage de faux et détournement de deniers publics en bande organisée ». Au départ il s’agissait d’un marché de 5 milliards de francs Cfa de produis phytosanitaires exécutés par le ministère de l’Habitat et la Construction à la suite d’un appel d'offres restreint de novembre 2011 pour l’année 2012.
À l’arrivée on se retrouve avec des marchés fictifs évalués à…77 milliards de francs « encaissés » par des sociétés mises en place par Aïda Ndiongue. Dans cette procédure, de hauts gradés de cette structure se retrouvent dans la chaine de complicité. D'après des documents consultés par le journal "Le quotidien", les marchés sont fractionnés au moment de la livraison pour maquiller les chiffres. Car les produits contenus dans le cahier d’appel d’offres et ceux « livrés » aux services d’hygiène ne sont pas identiques.
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