Cette année, la Côte d’Ivoire a accueilli la première édition de la Rencontre Régionale de formation des journalistes des médias en ligne de l’Afrique de l’Ouest francophone. Cet événement s’inscrit dans le contexte des 75 ans de la célébration de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme et se tient à la veille de la Journée mondiale de la liberté d’expression prévue le 3 mai. A cette occasion, le président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d'Ivoire (REPPRELCI), Lassina Sermé a évoqué la nécessité d’utiliser l'intelligence artificielle pour prédire les violations des droits de l'homme et y mettre un terme.
« La technologie numérique offre déjà de nombreux avantages. Sa valeur du point de vue des droits de l'homme et du développement est énorme. À travers cette technologie, nous pouvons favoriser l'autonomisation, la diffusion d'informations et l'établissement de procédures d'enquête. Nous pouvons utiliser des communications cryptées, des images satellites et des flux de données pour défendre et promouvoir directement les droits de l'homme. Nous pouvons même utiliser l'intelligence artificielle pour prédire les violations des droits de l'homme et y mettre un terme », a déclaré jeudi M. Sermé.
Cependant, il a fait savoir que l’utilisation du numérique a aussi « un côté obscur » et que « les journalistes, femmes et hommes, ont un rôle important à jouer dans ce domaine ». À l’issue de ces assises, une déclaration dite « Déclaration de Jacqueville ou d’Abidjan » ponctuée de recommandations sera produite. Celle-ci permettra de relever les défis de la presse en ligne de l’Afrique de l’Ouest francophone.
« Avec l’appui de l’UNESCO, nous avons mis en place l’Observatoire des médias numériques de Côte d’Ivoire (OMENCI), qui est un organe d’autorégulation, mais également ivoirecheck, une plateforme de lutte contre les fausses nouvelles », a dit le président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d'Ivoire.
« La technologie numérique offre déjà de nombreux avantages. Sa valeur du point de vue des droits de l'homme et du développement est énorme. À travers cette technologie, nous pouvons favoriser l'autonomisation, la diffusion d'informations et l'établissement de procédures d'enquête. Nous pouvons utiliser des communications cryptées, des images satellites et des flux de données pour défendre et promouvoir directement les droits de l'homme. Nous pouvons même utiliser l'intelligence artificielle pour prédire les violations des droits de l'homme et y mettre un terme », a déclaré jeudi M. Sermé.
Cependant, il a fait savoir que l’utilisation du numérique a aussi « un côté obscur » et que « les journalistes, femmes et hommes, ont un rôle important à jouer dans ce domaine ». À l’issue de ces assises, une déclaration dite « Déclaration de Jacqueville ou d’Abidjan » ponctuée de recommandations sera produite. Celle-ci permettra de relever les défis de la presse en ligne de l’Afrique de l’Ouest francophone.
« Avec l’appui de l’UNESCO, nous avons mis en place l’Observatoire des médias numériques de Côte d’Ivoire (OMENCI), qui est un organe d’autorégulation, mais également ivoirecheck, une plateforme de lutte contre les fausses nouvelles », a dit le président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d'Ivoire.
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