En tant que travailleur et en même temps habitant de la commune, « je ne peux pas rester insensible quand on s’attaque à cette institution de ma commune », se défend-il tout en précisant « sur les images on me voit bien ramasser des cailloux pour les balancer aux nervis ».
Cependant même s’il était allié au maire socialiste pour combattre les occupants lors des échauffourées, les témoignages de Sylvain Doreigo enfoncent plus Barthélémy Dias qu’ils ne l’extirpent. Le tireur embusqué dont on parle du côté des nervis n’existe pas selon ce travailleur, par ailleurs habitant de la commune dirigée par le jeune socialiste.
Dans une interview accordée à nos confrères du journal « L’observateur », « Non ! Sincèrement je n’ai pas vu un individu qui tirait sur les nervis », dira l’homme de la quarantaine qui soutient néanmoins « j’ai entendu en tout cas leur chef dire aux nervis : « Ceux qui fuient ne seront pas payés. Cela je l’ai entendu de mes propres oreilles ».
Cependant même s’il était allié au maire socialiste pour combattre les occupants lors des échauffourées, les témoignages de Sylvain Doreigo enfoncent plus Barthélémy Dias qu’ils ne l’extirpent. Le tireur embusqué dont on parle du côté des nervis n’existe pas selon ce travailleur, par ailleurs habitant de la commune dirigée par le jeune socialiste.
Dans une interview accordée à nos confrères du journal « L’observateur », « Non ! Sincèrement je n’ai pas vu un individu qui tirait sur les nervis », dira l’homme de la quarantaine qui soutient néanmoins « j’ai entendu en tout cas leur chef dire aux nervis : « Ceux qui fuient ne seront pas payés. Cela je l’ai entendu de mes propres oreilles ».
Autres articles
-
Dakar-Ziguinchor: Reprise imminente de la liaison maritime
-
Mort de Seydina Mouhamed Diop : la police livre sa version des faits
-
« Il y a eu sous Macky Sall une politisation à outrance judiciaire » Abdoulaye Ndiogou
-
Bus DDD incendié à Pikine : les travailleurs condamnent et réclament des poursuites judiciaires contre les auteurs
-
Affaire de l’Attentat du Bus à Yarakh, « c’est une farce » selon Abdoulaye Ndiogou