Se sentant surexploités, les travailleurs d’AFTU Kaolack se font entendre. Ils dénoncent leur mal vivre. Ces agents du transport courent toujours derrière un contrat depuis 6 ans. Ils décident de mettre le pied sur le frein, si rien n’est fait d’ici là.
« Nous sommes-là, pour déplorer un fait depuis 2015. Il s’agit des conditions misérables dans lesquelles nous travaillons. Ici, à Kaolack, nous sommes surexploités. 6 ans sans contrat de travail, ni de déclaration à l’Ipres, ni de déclaration à la caisse de sécurité sociale. Ce qui signifie qu’en cas d’accident ou de maladie, on n’aurait pas une prise en charge médicale », dénonce Ousseynou Thioune Diouf leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Les opérateurs se permettent de faire des licenciements abusifs. Sans préavis, sans notification écrite, des licenciements sans motif et des mis à pieds qui n’ont aucune base légale. Depuis quand réclamer son droit est une infraction au Sénégal ».
Pire, tonne M. Diouf sur les ondes de Walf Fm, « ils sont en train de saboter le réseau en intimidant les receveurs, en les menacent de licenciement si toutefois, ils donnaient les feuilles de route aux contrôleurs. Ce qui est une violation manifeste, claire et nette d’un des éléments fondamentaux de la bonne marche du service. Sur ce, nous lançons un appel solennel aux autorités, de s’enquérir de la situation. Parce que ça peut dégénérer à tout moment. Nous n’accepterons pas d’être traités comme des esclaves. Nous ferons face à l’injustice ».
« Nous sommes-là, pour déplorer un fait depuis 2015. Il s’agit des conditions misérables dans lesquelles nous travaillons. Ici, à Kaolack, nous sommes surexploités. 6 ans sans contrat de travail, ni de déclaration à l’Ipres, ni de déclaration à la caisse de sécurité sociale. Ce qui signifie qu’en cas d’accident ou de maladie, on n’aurait pas une prise en charge médicale », dénonce Ousseynou Thioune Diouf leur porte-parole.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Les opérateurs se permettent de faire des licenciements abusifs. Sans préavis, sans notification écrite, des licenciements sans motif et des mis à pieds qui n’ont aucune base légale. Depuis quand réclamer son droit est une infraction au Sénégal ».
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