«La baisse du coût de l’électricité peut être envisageable et non envisagée». C’est par ces mots que le Directeur général de la SENELEC a répondu à ceux qui, ces derniers jours, parlent de baisse du tarif de l’électricité. En marge du lancement du programme de soutien à 40 familles démunies qui a eu lieu hier à Ziguinchor, Makhtar Cissé, d'informer que : «la SENELEC veut travailler sur une baisse structurelle».
Selon lui, « quand l’Etat ne voulait pas que les tarifs de l’électricité augmentent, il donnait des subventions à la SENELEC. Mais depuis deux (2) ans, la société ne reçoit plus cette subvention». Ce qu'il considère comme la premier baisse que le gouvernement a apporté aux consommateurs.
Il ajoute : «100 milliards que SENELEC pouvait recevoir et qu’elle ne reçoit pas aujourd’hui, c’est 100 milliards qui pouvaient servir à des apports, servir à la santé et à d’autres activités de la vie nationale. Et, c’est 100 milliards sont contribuables aux Sénégalais. Donc c’est la première forme de baisse structurelle que l’Etat du Sénégal a donné aux consommateurs».
Désormais la SENELEC ne compte plus suivre les variations de coût du pétrole pour définir celui de l’électricité. Si baisse il y aura, elle sera structurelle pour éviter une instabilité des prix, a expliqué Makhtar Cissé.
«Si on ne doit suivre que le baril ça va être des baisses et des augmentations», a-t-il avancé. Avant d’ajouter : «nous voulons travailler sur une baisse structurelle du tarif. On veut que quand on commencera à baisser qu’elle puisse continuer jusqu’à atteindre un point qui rendra confortable tous les ménages et toutes les entreprises».
Par ce qu’il est évident, selon lui, que la SENELEC ne doit plus dépendre des fluctuations sur le prix du baril. « Les sénégalais accepteront qu’on baisse mais pas qu’on augmente. Et, socialement ce ne sera pas gérable», a-t-il conclu.
Selon lui, « quand l’Etat ne voulait pas que les tarifs de l’électricité augmentent, il donnait des subventions à la SENELEC. Mais depuis deux (2) ans, la société ne reçoit plus cette subvention». Ce qu'il considère comme la premier baisse que le gouvernement a apporté aux consommateurs.
Il ajoute : «100 milliards que SENELEC pouvait recevoir et qu’elle ne reçoit pas aujourd’hui, c’est 100 milliards qui pouvaient servir à des apports, servir à la santé et à d’autres activités de la vie nationale. Et, c’est 100 milliards sont contribuables aux Sénégalais. Donc c’est la première forme de baisse structurelle que l’Etat du Sénégal a donné aux consommateurs».
Désormais la SENELEC ne compte plus suivre les variations de coût du pétrole pour définir celui de l’électricité. Si baisse il y aura, elle sera structurelle pour éviter une instabilité des prix, a expliqué Makhtar Cissé.
«Si on ne doit suivre que le baril ça va être des baisses et des augmentations», a-t-il avancé. Avant d’ajouter : «nous voulons travailler sur une baisse structurelle du tarif. On veut que quand on commencera à baisser qu’elle puisse continuer jusqu’à atteindre un point qui rendra confortable tous les ménages et toutes les entreprises».
Par ce qu’il est évident, selon lui, que la SENELEC ne doit plus dépendre des fluctuations sur le prix du baril. « Les sénégalais accepteront qu’on baisse mais pas qu’on augmente. Et, socialement ce ne sera pas gérable», a-t-il conclu.
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