L’année 2015 a enregistré un fort taux de suicide dans le Djoloff. La plupart de ces drames ont été perpétrés par des personnes souvent âgées et le moyen de suicide le plus fréquent, est la mort par pendaison. Au total, sept (7) personnes soit cinq (5) hommes et deux (2) femmes ont ainsi mis fin à leurs jours pour des raisons généralement inconnues. Le 28 octobre dernier, un individu répondant au nom de Mamadou Birame KA, âgé de 52 ans et domicilié à Niapaba, dans la commune de Déali, avait été retrouvé mort par pendaison dans sa chambre.
Le 20 octobre, Amadou BA, 43 ans, habitant Thiombé distant de sept (7) km de Linguère, s’était lui aussi donné la mort en nouant une corde autour du cou. Avant de l’attacher à une branche d’un arbre situé derrière le village. A Yang-Yang, le 8 octobre vers 22 heures, un drame similaire s’était produit dans un hameau peulh entre le village de Mboyane et la commune de Mbeuleukhé.
Il s’agissait de la mort suspecte du jeune berger, Mokhtar KA âgé seulement de 22 ans, retrouvé pendu. Après l’autopsie à Louga, l’enquête a conclu que le défunt est mort par asphyxie. Le 23 juin dernier, au quartier Diamaguene dans l’agglomération de Linguère, c’est une jeune déficient mental qui avait mis fin à ses jours par pendaison. Saliou Seck avait attaché une corde à l’une des branches d’un arbre en pleine brousse pour se tuer. Egalement, le 17 janvier 2017, à Gouloum-Béthio, dans l’arrondissement de Yang-Yang, Adama Ndoulo BA (52), un déficient mental, s’est ainsi donné la mort. Selon une source proche de la famille, la victime souffrait de sérieux problèmes psychologiques et la veille du drame, Adama Ndoulo BA se lamentait du manque de son médicament qui l’aidait à lutter contre son mal.
Toujours dans ce registre macabre de suicides, liste «Le populaire», au village de Mody Diallo, situé à six (6) km de Linguère, c’est la dame Aïssata Arona Sow, âgée de 46 ans, mariée et mère de trois (3) enfants qui a utilisé un mortier sur lequel elle est montée pour attacher une corde à l’une des planches de la toiture de sa maison. Le 7 juillet, à Doundodji une dame du nom de Khady Sakho, mère de sept (7) enfants, s’était donnée la mort par pendaison dans une case qui tenait lieu d’enclos pour commettre l’irréparable. Son mari avait témoigné que son épouse ne souffrait d’aucune pathologie. Après chaque drame, les forces de l’ordre éprouvaient d’énormes difficultés pour connaître les mobiles de ces suicides devenues fréquents dans le Djoloff. Souvent, les proches ou parents des victimes, ne veulent, en effet, pas dévoiler les secrets qui ont poussé ces dernières à mettre fin à leur vie, (sauf s’il s’agit d’un déficient mental).
Le 20 octobre, Amadou BA, 43 ans, habitant Thiombé distant de sept (7) km de Linguère, s’était lui aussi donné la mort en nouant une corde autour du cou. Avant de l’attacher à une branche d’un arbre situé derrière le village. A Yang-Yang, le 8 octobre vers 22 heures, un drame similaire s’était produit dans un hameau peulh entre le village de Mboyane et la commune de Mbeuleukhé.
Il s’agissait de la mort suspecte du jeune berger, Mokhtar KA âgé seulement de 22 ans, retrouvé pendu. Après l’autopsie à Louga, l’enquête a conclu que le défunt est mort par asphyxie. Le 23 juin dernier, au quartier Diamaguene dans l’agglomération de Linguère, c’est une jeune déficient mental qui avait mis fin à ses jours par pendaison. Saliou Seck avait attaché une corde à l’une des branches d’un arbre en pleine brousse pour se tuer. Egalement, le 17 janvier 2017, à Gouloum-Béthio, dans l’arrondissement de Yang-Yang, Adama Ndoulo BA (52), un déficient mental, s’est ainsi donné la mort. Selon une source proche de la famille, la victime souffrait de sérieux problèmes psychologiques et la veille du drame, Adama Ndoulo BA se lamentait du manque de son médicament qui l’aidait à lutter contre son mal.
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